Mort de rire ! Comme quoi, même à travers ce genre d’article, on peut apprendre des trucs, et notamment grâce à Léon (merci pour le lien) .
Sur le fait lui même, en gros on ne sait rien sur ce qui se passe réellement mais au dela de l’annecdote quelques vérités générales ressortent.
Première remarque : tous cela n’arrive pas dans le privé. Pourquoi, parce que si un prof est nul, ce qui arrive parfois ( si si).on le recours d’en changer sous la triple pression des élèves des parents et de l’administration ? Chose impossible à L’EN au nom du mythe que le prof sait mieux que tous les autres « acteurs du système éducatifs ».
Deuxième remarque, on voit très bien dans le lien de léon que l’ensemble des collègues se mobilisent contre l’idée que les élèves puissent avoir une opinion sur leurs enseignants.
Les même qui nous disent la messe sur leur vocation à donner aux élèves un esprit critique, qui leur enseigne d’ailleurs souvent à critiquer pêle mêle les patrons, les présidents, la société et les nabots, s’indignent qu’ils expriment une opinion sur ce qu’au fond ils connaissent le mieux, leur prof. Les enseignants qui jugeaient leurs élèves du primaire assez murs pour aller manifester contre la victoire démocratique de Le Pen au pemier tour de l’ élections présidentielle considèrent que des élèves sans doute majeurs n’en savent pas assez pour évaluer la qualité de l’enseignement qu’il recoivent.
Etre soucieux d’avoir appris l’anglais au bout de l’année est appellé consumérisme !
Et en plus ils l’avouent naïvement !
Enfant de l’école public,j’ai assez sponténément tendace à la défendre, mais quand je lit tous cela, j’ais tendance à rejoindre le péripate . Privatiser ?