Il ne faut pas trop regarder les films pour se faire une idée de l’histoire. Sans rentrer dans les exagérations de votre présentation je noterai que vous faites l’impasse sur les deux formes de totalitarisme et n’en présentez qu’une seule.
La première forme est d’origine démocratique. Hitler n’appartient à aucun groupe. Il a commencé tout seul debout sur un cageaot dans les jardins publics de Münich. Son ascension est essentiellement démocratique (à part le putsch qui l’a mené en prison). Ce n’est qu’une fois arrivé au pouvoir par les voies républicaines qu’il est devenu un dictateur. Mussolini a suivi le même chemin. Vous ne citez que cette forme.
La deuxième forme est basée dés le début sur la terreur la plus effroyable. C’est la méthode employée par le pouvoir juif en Russie. Là oui, il s’agit d’un petit groupe d’hommes, soutenus en l’occurence par la Kahal New-Yorkaise qui investit le pouvoir et fait le coup de feu. Dés le début, c’est la répression la plus terrible et la mise au pas de tous les proches collaborateurs pour asseoir son pouvoir. Trosky et Lenine ont commencé par faire une bonne vingtaine de millions de morts. On préfère les oublier pour des raisons évidentes et ne citer que le géorgien Staline. Comme autre exemple, la république de Bavière avec Kurt Eisner. Dans cette forme de totalitarisme il n’y a aucune adhésion populaire, pas même au début.
L’article nous cite des points de détail sur des questions vraiment marginales. Le totalitarisme avance en Europe à grand pas. Ce n’est ni celui d’Hilter ni celui de Staline mais celui d’un pouvoir diffus qui veut nous imposer le mondialisme.
Le rejet des résultats du vote de dizaines de millions de personnes (Hollande, France, Irlande, Danemark) est un fait autrement plus important que la mise en garde à vue injustifiée de quelques individus
Le bourrage de crâne permanent pour influencer les populations, on le voit actuellement avec l’histoire des minarets où tous les maîtres à penser passent en boucle dans les journaux et à la télé pour nous dire que les suisses ont « mal compris », qu’il faut les « éduquer » est aussi fort inquiétant. Dés que l’on ne vote pas comme le veut le groupe dictatorial, c’est nécessairement qu’on a mal compris, qu’on est pas éduqué et qu’on a peur. Les mêmes thèmes exactement les mêmes ont été utlisés pour le référendum sur le TCE. Cela devrait nous interpeller un peu plus que les petits exemples cités dans l’article.
Nos libertés foutent le camp tous les jours à trés grande échelle. C’est ce phénomène qu’il faut étudier.