Cher French-car,

 Je ne suis pas offenser. Un enfoiré n’est pas vite offensé.
 Nous sommes ici pour exprimer des idées, pas des dogmes. Ensuite, il faut les balancer, les sous-peser sans les sur-peser. Pas facile. Comme je l’ai dit souvent, mes meilleurs amis sont mes compléments, pas mes égaux. C’est comme en électricité. Il n’y a que les sens inverses qui s’attirent réellement. Pas deux coq sur le même fumier comme je le dis à mon épouse.
 Paul a reçu deux longs mails de ma part pour expliquer ma réaction vis-à-vis de ces derniers articles. Je me suis défini complètement avec mes « techniques de travail » pour ne pas être pris comme un traitre.
Mon dernier article essayait d’expliquer le contexte. Il n’y est pas venu. C’est pas une question de polémique. C’est une question de sources d’un problème à rechercher.
 J’accorde bien plus d’importance au fond qu’à la forme. Beaucoup de rédacteurs en herbe n’osent pas se mettre en avant parce qu’ils ont peur de la « forme » alors que le fond mériterait bien plus qu’un commentaire de ci delà.
 Chacun a des expériences de vie qu’il veut partager. Rien de plus normal. C’est cela qui est enrichissant. La Sarkozite aigue par contre je ne votais pas, même si je lisais. Pas d’ingérence.
 J’ai été dans un temps révolu modérateur (bien avant la technique de modération actuelle). Si je n’avais coché que les articles qui m’intéressaient ou qui me convenait à merveille, je n’aurais pas fait un travail honnête.
 Je me suis intéressé à l’histoire que Paul décrit. Par l’interne. Une étudiante française. Biologiste, justement. J’en sais plus et cela se rapproche terriblement de ce que je pensais. 
 
"une partition toute faite qui ne collait pas du tout avec le reste de l’orchestre.« 
Absolument. Mon article en ligne n’a été que le répondant.
D’où ma sortie du »Petit oiseau, petit poisson qui s’aimaient d’amour tendre" de Greco.
Mais je déviais du sujet, bien entendu.