Un certain nombre de commentaires suscités par cet article sont carrémment obsolètes, pour ne pas dire à côté de la plaque. Le futur est à notre porte, il est perceptible, et il va s’imposer à nous, qu’on le veuille ou non.
La disparition de travail tel que nous le concevons aujourd’hui,est un évènement de nature à bouleverser toutes les structures de notre société.
Ce qui est évident, c’est que les clichés du présent ne pourront plus s’appliquer si la donne est différente.
A partir de l’instant, ou l’individu est rémunéré pour vivre, sans contreparti d’un travail, l’indice de prospérité d’une société ne plus etre l’activité, mais la satisfaction des besoins.C’est le début d’une réaction en chaine.La compétivité par les bas salaires, n’est plus un argument de poids, la mondialisation recule. Si le chômage n’est plus une tare, plus besoin de tricher, et de maintenir artificiellement des emplois inutiles. Avec plus de temps libre, on pourra cultiver son jardin, se mitonner de bons petits plats, et garder les anciens à la maison. On pourra se bricoler, des tables basses en chêne ou en olivier.Adieu, tout les bons filons !
Pour etre vraiment sincère, je pense que dans un trés proche avenir, le principal moteur d’activité, ne sera plus la satisfaction des besoins de l’etre humain, qui aurait du etre assouvi depuis longtemps, mais la nature qui nous entoure, et qui est dans un triste état.
Mais pour celà, il faudra admettre que l’on puisse travailler sans bénéfice immédiat. Une autre révolution en perspective !