Morice, je t’aime bien mais on la fait quand cette révolution des muguets, j’ai les portugais, t’as les muguets ?
Importer des portugais , c’est pas de la contrebande d’armes et, en plus, c’est diificile de trouver un portugais chez lui !
et les muguets, Morice !
T’’imagine ben laden avec un muguet en mains, patétique !
Je te charge de trouver les muguets, te fait pas attrapper !, danger, Morice, un muguet à la fois, pour pas éveiller les soupcons.
Pour les portugais, c’est différent, t’en fait passé un, c’est l’bordel.
T’en fais passer 250, c’est « business as usuel ! » comme ils disent
Pendant qu’on les braque sur les portugais, j’ai un pote qui fais diversion avec une bande de sénégalais, des mecs pas possible, Morice, une vraie bande de con, on s’est entrainé au mozambique mais on a du se barrer, vite fait, vu qu’on avait pas de pognon pour l’hotel.
Là, j’ai un copain chinois qui vient avec sa bande à lui, des mecs corrects, ils s’excusent toujours avant de tirer, mais personne les comprend !
à oui, boris m’a promis de venir avec ses copains, aussi, j’aime pas trop ses potes, des anciens sptnazes reconvertis à Allah, pas bon comme programme, mais bon, faut faire avec ce qu’on a, le resto du coeur est d’accord de trouver de la salade.
On en aura besoins parcequ’a par les salades, je sais pas trés bien ce qu’on va leur balancer à nos maîtres.
Génial, Morice, ce sera la révolution des salades, dans 6 générations, t’aura des gamins qui dirons, fiérement : un de mes vieux était là !
Morice, on va faire la révolution des salades, c’est la seule qu’on sait faire mais c’est pas pour cela qu’on est perdant.
T’imagine les meurtriers de Prince se faire attaquer par des salades, ils vont paniquer, pas prévu dans le manuel du parfait meurtrier !
Note que nous, on est super entrainé depuis le temps qu’on nous envois des salades ! on a du stock, Morice
Et puis, tu sais, Morice, comme le disait un merveilleux ami, le grand JACQUES, lorsqu’il nous invitait à boire à « la fleur en papier doré » ( Bruxelles), je le voyais avec ses yeux pétillants d’utopie me gueuler « gamin, soyons saoul car, demain, il nous faudra étre ce qu’il ne sert à rien ! »