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Commentaire de René Job

sur De la pensée unique au service du vote Le Pen


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René Job (---.---.131.188) 26 novembre 2006 14:13

@ Yoga

« comparer Allegre a Galilée »

Vous avez raison. Tout ce passage me semble un peu « bizarre ».

Maladroit et inapproprié. Et ce d’autant que les graphes de certains scientifiques sur l’évolution des températures montrent clairement une hausse continue depuis le XIXème siècle.

Ce qui est d’ailleurs le plus remarquable, c’est que les mêmes scientifiques se refusent à interpréter comme il se doit ces mesures. Non pas qu’ils n’aient pas essayé mais plutôt qu’il semble qu’on leur ait très vite fait comprendre qu’étant donné les enjeux économiques, leurs discours étaient très malvenus.

Car modifier nos comportements revient à modifier la production-distribution-répartition-consommation des richesses. Ça signifie qu’un individu ne pourra plus s’enrichir indéfiniment et que les formes de propriétés seront un mixte équilibré entre propriété individuelle et propriété collective.

çà signifie aussi que la production devra être plus écologique donc plus couteuse, d’où une redéfinition à terme de la propriété car dans le système actuel, seuls les gens solvables auraient la possibilité de jouir de la vie.

Je crois que la meilleure illustration cinématographique de notre avenir est donnée par le film « Soleil Vert ». J’ai toujours senti que c’était un des avenirs très possibles de notre espèce.

Je suis contre le libéralisme absolu et contre le communisme absolu. Nous devons trouver des formules de vie intelligentes : c’est-à-dire qui permettent aux individus de s’épanouir tout en respectant les solidarités (passé/présent/avenir) et le milieu global dont nous sommes une donné importante.

Encore une marque de l’indigence des débats publics sur des enjeux majeurs de vie. Continuons avec la logique des pauvres et des riches. C’est bien. Ça conduit l’humanité à sa propre fin.

Les pères fondateurs de la Ière République Française pensaient que les maux publics (collectifs) venaient directement :

De l’ignorance, du Mépris et de l’Oubli.

Vive les animaux « politiques ».


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