Reagan était un pantin dont les ficelles étaient tenues par d’autres. Il était incapable de se concentrer plus de 3 heures dans une journée. C’est son gouvernement qui est à l’origine des déréglementations qui ont conduit à la ruine de nombreuses entreprises. C’est encore son gouvernement qui a favorisés les délocalisations massives vers la Chine (sous l’impulsion discrète de Kissinger). C’est donc à son équipe que l’on peut attribuer l’origine de l’appauvrissement massif de la classe moyenne et l’effondrement actuel de l’occident.
Thatcher, était une mono maniaque anti syndicale, anti peuple, anti-social, admiratrice de Reagan, qui a conduit son pays au bord de la guerre civile. Elle faisait si peur que ses amis ont fomenté un complot pour s’en débarrasser. Les résultats de sa politique de destruction industrielle, dont son pays ne s’est jamais remis, apparaît aujourd’hui : la ruine à court terme.
Sarkozy n’est pas un pragmatique. C’est un psycho rigide excité mélange de Reagan pour ce qui est de la capacité à gouverner et de Thatcher, pour sa haine du social. Il décide à l’emporte pièce, sans étude d’impact préalable, afin d’atteindre le but que ses sponsors lui ont assigné, en finir avec le modèle Français et l’indépendance gaullienne.
Comme Balladur l’avait initié, avec la complicité active de Sarkozy, la ruine du pays est un but politique, voulue et organisée. Non seulement, cela discrédite l’Etat Français mais en plus, cela érige un obstacle pratiquement insurmontable à la reconstruction d’une société, telle que la majorité la souhaite, du moins je l’espère, solidaire, égalitaire, humaniste.