Je ne rejette pas ce commentaire en bloc, néanmoins, il est typique d’une certaine jeunesse immigrée qui n’a qu’une idée bien partielle de la culture de se sparents.
Tout d’abord, bien au contraire, en tant que langue orale, les multiples dialectes maghrébins recellent une richesse et une diversité incroyable... qui ferait pâlir le français moyen, surtout lorsqu’il interagit avec la compréhension mutuel de l’arabe standard et des dialectes dominants télévisés. On est donc pas incapable d’exprimer une idée complexe lorsqu’on pense en arabe dialectal.
Par contre, effectivement, contrairement à tes dires, le REFUS, pendant deux générations, des immigrés maghrébins, d’apprendre leurs langues à leurs enfants au profit d’un français qu’ils ne maîtrisaient pas et donc qu’ils avaient pauvre a entraîné la médicorité syntaxique de leurs enfants, et l’absence de repère culturel et linguistique avec le pays d’origine, ce qui ets évidemment, pour les spécialiste contemporain un frein intellectuel à l’intégration.
Les parents maghrébins avaient honte de leur langue, parce qu’elle est un dialecte, justement, il pensaient de la même manière que cette commentatrice, et c’est qe qui a provoqué de vide culturel. Rempli par ces comportements de repli actuel.
Enfin, la culture maghrébine ne se résume pas au couscous ou au respect des aînés (ce qui en soit est une valeur humaine naturelle et inestimable) mais la preuve du fait que ses héritiers préfèrent, par humilité et par une honte stupide, s’en débarrasser, c’est bien la piètre connaissance de cette richesse par cette commentatrice.
Sinon, bon courage dans ce débat de merde sur l’identité national : tout le monde sait bien qu’être français, c’est soit être du terroir, soit avoir un passport qui permet de voyager et le droit à la justice et à la santa (entre autre) et rien d’autre...