Avec l islam (soi-disant modéré ou non), la discussion, les négociations ça n’existe pas.
Dans un négociation, on essaie de se mettre d’accord sur un équilibre
des avantages ou désagréments que chacune des parties a la volonté de
concéder à l’autre, mais l’islam ne cède jamais rien, l’islam demande,
l’islam réclame, l’islam exige, l’islam prend (par la violence s’il le
faut).
Dès que l’on croit discuter, parlementer ou négocier avec l’islam, on
ne fait qu’accorder des concessions sans aucune contre-partie. Qui plus
est on ouvre la porte à de nouvelles exigences.
Démonstration 1 :
Les islamistes demandent que le port du burquini soit autorisé dans les piscines publiques.
Si on leur accorde :
Les islamistes demandent des horaires sans hommes dans les piscines publiques.
Si on leur accorde :
Les islamistes demandent des piscines exclusivement réservées aux musulmans hommes et femmes.
Si on leur accorde :
Les islamistes demandent des piscines exclusivement réservées femmes
musulmanes et d’autres exclusivement réservées aux hommes musulmans.
Je verrais bien une ville de moyenne importance avec pas moins de trois
piscines publiques construites et entretenues aux frais des seuls
contribuables payant des impôts. (suivez mon regard).
Démonstration 2 :
A la cantine d’une entreprise,
Les islamistes demandent à ce qu’il y ai de la nourriture hallal au menu.
Si on leur accorde :
Les islamistes demandent à ce qu’à toute la nourriture servie soit hallal.
Si on leur accorde :
Les islamistes demandent à avoir deux cantines séparées pour ne pas s’assoir à côté de gens impurs.
Si on leur accorde :
Les islamistes demandent à créer un “syndicat confessionnel” pour pouvoir (encore mieux) promouvoir leurs revendications.
Si l’on ne veut pas leur accorder, il reste qu’à délocaliser
l’entreprise dans un pays islamiste où les ouvriers n’ont qu’un seul
droit : bosser et fermer leurs g . . . . . s.
Nous sommes un peuple pacifiste, mais eux nous ont déclaré la guerre, la guerre d’usure.
Et nous benoîtement nous cédons pour avoir la paix.
Enfin, il nous reste quand même une parade : acheter nous-même la vaseline pour que ça nous fasse moins mal.
Qui exige ou menace, perd tout droit à la courtoisie.
[ Joseph Kessel ]