NKM,
Je
connais très bien les causes de l’immigration, je pourrais même à
la limite, et bien que vous soyez petit fils d’ Espagnol, vous en
apprendre, que vous ignorez. J’ écris de l’immigration, et des
situations, et je ne m’en prends pas aux immigrés.
Je
ne suis pas patriote au point de donner ma vie pour le CAC 40, mais
si nous étions en guerre, je défendrais ma famille et ceux que je
j’aime, et donc, je choisirais forcement un camp.
Je
constate, que sur ce dernier commentaire, nous sommes d’accord jusqu’
à un certain point, et à partir de ce point, vous devenez
illogiques, en adoptant une position qui n’est pas conforme avec ce
que vous devriez penser vraiment.
"Le
seul frein à l’immigration se trouve dans de meilleures structures
dans les pays d’origines." Je ne penses pas différemment, et je vais
jusqu’au bout de cette logique, et je suis globalement contre
l’immigration, et pour l’expulsion des clandestins. Parce qu’en
aidant les immigrés avant qu’ils le deviennent, j’y trouves mon
compte et eux aussi.
Ce
qui est flagrant aujourd’hui, c’est que les problème s’accumulent,
et que l’humanisme débridé n’apporte aucune solution, et nous
conduit plutôt vers un point de non retour ingérable. Si on attend
que tout le monde soit convaincus que l’immigration est un risque, il
sera trop tard pour renverser la vapeur. Il ne faut pas se leurrer,
tout ce que nous faisons pour « nos » émigrés, revient
à remplir un tonneau des Danaïdes, pour un résultat globalement
nul. Pour un immigré que nous accueillons, il y en a cent qui
sonnent à la porte. Alors que peut être avec le coût d’un seul en
France on pourrait en aider cent chez eux.
Quand
la France comptera 120 millions d’habitants, avec 50% de français (s’il en reste),
elle crèvera sans pouvoir s’aider.