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Commentaire de Marc Bruxman

sur Les forçats de la terre


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Marc Bruxman 18 décembre 2009 17:57

Le problème c’est que l’on a maintenu la profession agricole à coup de subventions plutot que de favoriser les grandes exploitations comme c’est le cas ailleurs. Le sens de l’histoire c’est d’avoir très peu de paysans et cette réduction en nombre permettra à ceux qui resteront de bien gagner leur vie.

De même que nous aurons dans un futur proche très peu d’ouvriers.

L’homme monte en grade dans ce qu’il produit c’est tout. La ou toute l’énergie devait être consacrée à l’agriculture, elle a été consacrée à l’industrie, puis elle est maintenant consacrée aux services.

Et forcément, l’agriculture, si loin des villes devient invisible pour les citadins. C’est un peu triste. Les enfants ne savent plus d’ou vient ce qu’ils bouffent.

@Massallotte
Dans les pays de l’est, le mépris pour les paysans est directement lié à l’organisation communiste de la société. La seule chose qui comptait pour les staliniens c’était l’industrie lourde. Le service, le commerce ou l’agriculture c’était de la merde. Et cela a occasionné de belles famines. C’est le gros défaut de la planification en donnant des objectifs de production plutot qu’en laissant le marché faire son boulot on a crée des désastres sans précédent. Ou l’on envoyait des paysans à l’usine sans penser qu’il fallait peut être déja construire la mécanique pour les libérer de leurs terres.


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