Les problèmes écologiques d’aujourd’hui sont le fruit d’une économie dominante qui dure maintenant depuis presque 2 siècles.
Il est nécessaire d’aller à la racine des problèmes. Malheureusement l’idéologie d’une toute petite minorité d’hommes étatsunienne a plus de poids dans la balance de l’environnement et de la vie que toutes les populations de la terre qui subissent leurs saccages et la destruction de la planète. Cette minorité peu le faire grâce à la complicité de ceux qui sont à la tête des états.
Un peuple qui vit bien et en paix ça rapporte combien aux actionnaires ? Là est la question !
Aux états-Unis, les banques ont préféré que les pauvres s’endettent plutôt que de payer correctement les travailleurs. C’est un choix politique et hautement économique. Un travailleur pauvre n’avait pas grand chose avant la crise, maintenant il n’a plus rien, il va à la soupe populaire. Dans la crise les plus perdants ce ne sont pas ceux qui l’ont provoqué mais ceux qui la subissent.
Un état qui aide des producteurs de voitures particulières (même propre) ça n’a pas le même sens que d’investir dans les transports collectifs. C’est un choix idéologique, politique et économique.
Lire ce livre très instructif de Paul Jorion. Il n’est pas écolo, il est économiste et anthropologue.
La crise du capitalisme américain parut en
février 2007, soit six mois avant que la crise n’éclate véritablement.
L’ouvrage avait été écrit d’octobre 2004 à février 2005. En novembre
2005, Paul Jorion, qui travaillait depuis 1998 dans le secteur du
crédit à la consommation aux États-Unis, serait recruté par
Countrywide, le principal établissement de crédit immobilier américain,
bientôt au cœur de la tourmente et dont il resterait cadre jusqu’en
octobre 2007.
Le capitalisme américain apparaissant à l’époque triomphant, le
manuscrit chercha vainement un éditeur pendant plus d’un an. Quand la
décision de le publier fut prise, l’éditeur, sceptique, en modifia le
titre qui devint Vers la crise du capitalisme américain ? Le livre a
repris son titre original dans la présente réédition.
La « crise des subprimes » éclata en août 2007. Le crédit s’était
soudain tari sur les marchés interbancaires quand les prêts immobiliers
américains, plusieurs milliers d’entre eux étant reconditionnés à la
fois sous forme d’obligations (la « titrisation »), cessèrent de
trouver acheteurs. La raison en était simple : ils essuyaient désormais
de lourdes pertes, de trop nombreux emprunteurs appartenant au fameux
secteur à risque des « subprimes » se révélant incapables de faire face
à leurs engagements.
Limitée au départ aux États-Unis, la crise devait bientôt déferler sur
le monde. Le portrait dépeint ici est celui d’une Amérique aux
consommateurs surendettés s’engouffrant avec l’aide d’organismes de
prêt complaisants et de banques d’investissement rapaces, dans une
gigantesque bulle immobilière.
Si les États-Unis étaient bien les principaux responsables du drame,
ils n’étaient cependant pas seuls car la Chine avait financé la bulle
par ses achats massifs de bons du Trésor et de titres immobiliers
américains, poussant les taux d’intérêt à la baisse et encourageant de
fait le consommateur américain à acheter les produits made in China en
quantités colossales.
Lorsque la bulle creva, le capitalisme américain, entraînant le monde à
sa suite, plongea dans une crise historique qui risque désormais de lui
être fatale.
21/12 19:47 - Popov
Bien que ce soit mon premier article écrit tard dans la nuit, J’ai quand même pris la (...)
21/12 19:41 - Popov
Bien que ce soit mon premier article écrit tard dans la nuit, J’ai quand même pris la (...)
21/12 06:54 - freelol
Ce qui est fou c’est de croire que le réchauffement climatique est la cause principale de (...)
21/12 06:48 - freelol
Ce qui est fou c’est d’avoir le cerveau complètement grillé par les rayonnements de (...)
20/12 20:06 - MarcDS
@Loule : vous êtes un scientifique, vous ? Je préfère ne pas le croire. « La surpopulation (...)
20/12 13:48 - Axior
Le problème de la natalité est à « géographie » variable. Si le nombre des naissances est trop (...)
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