Commentaire de Vladivostok 1919
sur La sobriété rassurante de Pierre Rabhi
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« Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’active, allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec pour les jeter sur le feu. Au bout d’un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit « Colibri ! Tu n’es pas fou ! Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ?! » Le colibri lui répondit alors : « Je le sais, mais je fais ma part ».
Derniers commentaires
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17/01 07:58 - jmc
article intéressant parce que l’homme est digne d’intérêt, il nous rappelle que (...)
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23/12 08:58 - iris
un autre homme que nicolas hulot et depuis plus longtemps engagé dans l’écologie-je lui (...)
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22/12 22:01 - olivier cabanel
Frabri, oui, pour avoir rencontré et écouté Pierre Rabhi, je suis surpris de la distance (...)
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22/12 18:48 - Frabri
Pierre rabhi est un pionnier de la décroissance, dommage qu’il veuille « créer un (...)
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22/12 17:58 - Popov
à Vladivostok, faites donc un article alors... la critique est toujours facile. Pierre Rabhi (...)
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22/12 15:48 - Vladivostok 1919
« Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés (...)
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