Vincent Courtillot, géophysicien, rappelle quelques petits détails qui ennuient la version GIEC :
- la science n’est pas démocratique, la majorité n’a pas forcément raison. Si on ne suivait que la majorité des scientifiques, les travaux de Pasteur auraient été abandonné, comme ceux des Curie, de Planck, d’Einstein, etc... Donc la démocratique version du GIEC ne tire pas sa force de son côté « la majorité dit que ».
- en tant que spécialiste des glaces du pôle, il a posé une question : les carottes glaciaires montrent sur les temps géologiques (plusieurs milliers d’années) que le réchauffement précède la hausse du CO2 dans les couches de glaces. C’est l’inverse de ce que le GIEC annonce. Or le Giec ne répond pas à la question : cette donnée géologique est-elle prise en compte dans l’étude de la corrélation entre hausse du CO2 et hausse de la température ?
- toujours en spécialiste des glaces, il rappelle que l’activité humaine n’a jamais atteint le niveau du siècle dernier en production de CO2. Pourtant la Terre Verte, qui fut nommée ainsi au 10eme ou 11 eme siècle en raison de sa verdoyance, est toujours couverte de glace actuellement. La température à l’époque était plus élevée que maintenant, donc que nous sortons de 6 à 8 siècles de refroidissement. Le réchauffement du 10ème siècle peut il être attribué à l’activité humaine ? Si non, les causes valables pour le 10ème siècle ont-elles été prise en compte par le GIEC ?
Comme le GIEC ne répond pas à ces questions, vous allez surement le faire à sa place.