@ French car
1- Votre turpitude n’a pas de limites !
2- Vous avez sous les yeux un jugement. Tout vous est donné. Car seul importe ce que dit le juge qui a le dernier mot, du moins provisoirement tant que la procédure n’est pas achevée. Et il faut que vous fassiez diversion pour refuser de voir les choses en face ! Quel pervers vous faites ! Beurk ! Chaque fois qu’on vous lit, vous donnez envie de gerber !
J’en profite pour régler son compte à une insinuation que vous avez eu le culot de faire sur mes petits diplômes. C’est bien dans votre genre. Sachez ceci !
1- Il n’ y a que les imbéciles de votre espèce pour définir une personne par les petits examens passés au sortir de l’adolescence vers 20 ans, quels qu’ils soient !
2- Il n’y a que les imbéciles qui, 40 ans après, mentionnent sur leur carte de visite ces examens acquis au sortir de l’adolescence.
3- 40 ans se sont écoulés en ce qui me concerne depuis Sciences Po Paris !
4- Je n’ai pas qu’à me réjouir d’être passé par Sciences Po. On m’y a enseigné en matière d’information des erreurs monumentales. J’ai mis 20 ans à m’en défaire et à les comprendre. Il m’a fallu 20 autres années pour les corriger.
5- Je ne suis donc pas celui que j’étais à 20 ans, avec son petit diplôme de Science Po où j’ai dû régurgiter des erreurs pour l’avoir en juin 1970. Vérifiez auprès du 27 rue St-Guillaume, imbécile que vous êtes ! Je ne mentionne pas, moi, sur ma bio, des diplômes que je n’ai pas, comme d’autres frimeurs, dans votre genre, pour ce qu’ils valent 40 ans après !
Mais c’est une triste manie française héritée de l’aristocratie : être toujours non plus ce qu’on est à la naissance, mais au sortir de l’adolescence ! Paul Villach