@ l’auteur
Mouais...
Ce qui devrait te travailler c’est ta propre analyse...
Imaginons un pays africain... Oui, c’est moins fun que les « states » mais on peut aussi imaginer les propos suivants sortis de tes commentaires.
« Personne ne peut contester la tonalité sécuritaire des discours de Mamadou. Pour la plupart des thèmes qu’il aborde, la structure dialectique est précise : susciter un sentiment de peur, créer une impression de proximité avec les gens (grâce au vocabulaire), construire une image d’homme providentiel (à la fois compétitif et actif). »
« Et comme cela se passe au Parti de Mamadou, le candidat dominant aux primaires est concurrencé par des tendances minoritaires, dont le discours est davantage centré sur une vision plus souple de l’économie de marché, sur une sensibilité sociale plus affirmée, ainsi que sur une conception volontariste en matière de défense nationale et de politique étrangère. »
Bon, j’arrête là. D’abord parce que le plan Mamadou me parait limite bien que ceux qui ont eu l’occasion de lire certains de mes commentaires ne m’en tiendront pas rigueur en sachant que l’illustration quand bien même « limite » ou « exagérée » n’a pour but que de forcer le trait pour faire comprendre une chose. Point.
Alors ça veut dire quoi tout ça ? Je suis certain qu’il y aurait beaucoup de choses à rapprocher entre la campagne présidentielle française et celle chilienne ou celle d’Ouzbékistan. Ah oui ! La comparaison avec les « states », ça fait branché ! Dans le mouv... Et après ?
Petit message perso : Cher auteur, avant ton doctorat en droit privé, n’aurais-tu pas un peu usé tes pantalons sur Aix du côté de la rue Gaston De Saporta ?