@OlivierBailly :
" Mais il me semble que quand je demande à SF s’il a voulu tue le
pere, quand il seche devant telle ou telle question (Internet, l’etat
des medias en France, etc.), il pouvait s’attendre a ce papier-la et
non à un dithyrambe comme il en fleurit tant a propos des editocrates
ces jours-ci.«
dithyrambes ? sur internet mais on attend de voir dans la presse et les médias. C’est vrai que c’est facile de faire ce genre de bouquin, mais encore faut-il le faire.
»Cet ouvrage est divertissant (ce n’est pas moi qui ai pousse SF
a employer ce mot), mais il n’informe pas. Ce n’est pas un papier
« mechant », mais ironique. Est-ce un delit ou la police de la pensee va
t-elle me mettre en cage ?«
Combien d’ouvrages critiques pour réellement dénoncer les médias et leurs »méthodes"(et il y a matiere). Rien que montrer la bouffonerie des personnages est une information. Pas de police de la pensée, mais je trouve vos critiques mal à-propos.
"Selon moi les editocrates est un vrai sujet qui mérite réflexion et développement et pas que l’on s’arrete a quelques figures risibles et
tellement faciles a caricaturer (surtout quand ca a deja ete fait). Je
pense que SF n’a pas besoin de moi pour de-crédibiliser son travail
lorsqu’il avoue benoitement n’avoir pas réfléchi au devenir de
l’editocratie a l’heure d’Internet."
Quelle exigence... Il faudrait qu’ils fassent en même temps l’analyse des médias, de l’avenir des éditocrates, proposent des solutions.... Pourquoi une telle exigence ?
Encore une fois, je trouve courageux de s’attaquer aux pontes des médias, surtout quand on sait à quel point le système fonctionne par réseau ou cooptation. On aimerait ce genre de courage chez bien d’autres journalistes, dont certains n’en pensent pas moins.