Effectivement , voilà aussi une autre démonstration du paradoxe de Zénon, elle utilise le théorème sur les limites :
On envisage deux cas :
1) la distance entre le départ et la destination de la flèche, est une distance finie
2) la distance entre le départ et la destination de la flèche, est une distance infinie
- 1) si la distance entre le départ de la flèche et sa cible est une distance finie :
le fait de diviser ce nombre fini, succesivement, un très grand nombre de fois par 2, donne un reste qui tend vers 0.
la flèche atteindra donc son but.
-2) si la distance entre le départ de la flèche et sa cible est une distance infinie :
si on divise l’infini par 2 une infinie de fois, on obtient une indétermination, car l’infini divisé par l’infini, donne une indétermination (et non pas 1) ( l’infini X 2 = l’infini)
Infini/infini= indétermination
on ne peut se prononcer...
Cette démonstration utilise, en effet, le théorème sur les limites. Cette problèmatique du paradoxe de zénon, à propos du sujet qui nous intéresse, le passage à 2010, vient, judicieusement, car il s’agit effectivement d’un raisonnement sur la limite des intervalles...
Nos journalistes ont une approche sans limite des intervalles, à moins que se soit une approche très limitée...le résultat au niveau de l’info, est le même, un zéro pointé !