Voilà un article des plus intéressants, et je le dis d’autant que j’ai maintes fois penser dans les pas de son auteur.
Nos élites dévoyées, via ces marionnettes politiciennes qui les réprésentent, n’ont de cesse de journellement nous persuader du peu de pouvoir que nous avons, nous hommes d’en bas, indécrottables plébéiens.
Ainsi, sommes-nous insignifiants, impuissants, voire inconcients quand pour exemple nous retardons d’un « Non » insane et inepte la marche de l’Europe vers un si bel avenir !
Au passage, a-t-on constaté, comme ils l’avaient annoncé, d’irréparables dégâts ici causés par l’insouciance du quidam négationniste ?
Bien au contraire, avons-nous un temps retardé l’obligatoire cortège de privatisations et autres démantèlements schizophréniques commandités depuis Bruxelles !
Oui, je me joins totalement à l’auteur, car en un état de guerre économique permanent, le boycott est bien l’instrument idéal pour une contre-attaque idoine : avec et grâce à lui, l’on répondra à l’assaut en se munissant des mêmes armes employées par les assaillants.
« Economie contre économie », quoi de plus juste et adapté !
Imaginons un instant 20% des actuels clients du magazin Carrefour boudant d’un coup cette enseigne, et prouvant ainsi que pareille manoeuvre pourrait s’appliquer à tout autre groupe du même acabit !
D’autres endroits où consommer à satiété ne manquant pas, la sédition ne serait pas franchement handicapante.
Mais quelle jolie panique ainsi orchestrée, n’est-ce pas !
Que de réflexions rendues alors nécessaires comme obligatoires !
Quel délice de voir le visage déconfit du nain qui nous gouverne !
Il ne faudrait pas un mois pour mettre à bas l’infâme système qui est le nôtre, de quoi réfléchir sérieusement la question !
Grand Dieu, on s’y met quand ?