un peu de médecine pratique.
Au bout de quelques dizaines de secondes notre appendice nasal est saturé et on ne se sent plus. Ce n’est pas le cas du chat,des muridés et des rongeurs en général.
Par l’haleine les poumons rejette les composés volatils du sang... d’où la rémanance de certaines odeurs. Après un test à la tuberculine, le pédiatre pue l’ether le restant de la journée.
D’autres l’étable, la photocopieuse, le cambouis, les solvants de peinture... selon le confinement. Il n’y a pas que les vêtements qui s’imprègnent et la frénésie de douches et autres ablutions ne changent rien.
Femme par contre doit porter un seul et même parfum, les substances maturent et évoluent dans l’épiderme. L’application chronique sur 15 j peut entraîner une perception différente : mon Channel a viré. Un des plus stables pour la femme active depuis 1945 reste le Vent Vert.
Au tu p.. de la g....Bains de bouche, gargarismes, brossage des dents ... niet ! C’est le poumon ! acte 3, scène 1o : la Toinette. Et de la mauvaise digestion. Encore les gaz...
Il suffit de terrasser de temps en temps la flore digestive par la prise unique d’un fonds ou d’un restant d’antibiotiques. L’entourage sera reconnaissant et ravi.
NB : un de mes profs de maths se shootait à la Solutricine C et aux Tictac.
Une autre spécialité de nos maîtres, les jets de salive... plus ou moins colorée et élaborée. Notre fumeur de Gitanes a ainsi hérité preuves à l’appui du joli nom de Lama.