Bon, mea culpa, vous ne parliez pas des savants en général mais simplement des écrivains. Je me suis arrêté au mot génie, en passant à coté du « littéraire ». Je parles en effet de la recherche scientifique pour la raison que c’est un domaine que je connais puisque j’y travail.
Là, où, par contre, vous m’accuser de hors sujet, en indiquant que je ne regarde que des cas particulier (les immigrés ayant un baguage suffisant pour faire chez nous de l’art ou de la recherche) , je vous répond tout simplement que non, pour la simple et bonne raison que les savants ou les grands écrivains de chez nous que vous citez, sont aussi des cas particulier. Je ne fais donc que replacer les choses dans leur contexte.
Au final, quand je sors de mon labo, quand je vois des personnes normal, qu’ils soient blancs, noirs, beurs, français de souche ou immigré, je ne vois pas grande différence. Tous ou presque ont galéré pour avoir leur bac alors qu’actuellement, ils le donnent, très peu sortent de prépa, un grand nombre de personne ont du mal avec des notions mathématique élémentaire et j’en passe (et parfois même à haut niveau, même un ministre à recement eu du mal avec une chose aussi simpliste qu’une règle de troie...).
Certains mangent du porc et boivent de l’alcool, d’autre non, certains parlent leur patois, d’autre parlent arabe, au final, c’est du détail. Le fait est que si je leur parle de mon boulot, dans un cas comme dans l’autre, ils n’y comprendront pas grand chose, et pourtant, je suis très loin des grand chercheurs, de ceux qui résolvent des problèmes d’une complexité telle que seule une poignée d’être humain sur la planète est à même de simplement comprendre le raisonnement utilisé (je pense par exemple à la démonstration du théorème de Fermat).
Pour faire rentrer des gens brillant, statistiquement, il faut aussi accepter de faire rentrer gens normaux. J’attends des preuves que les immigrés normaux sont moins brillant que les français de souche normaux. Comparez ce qui est comparable.