Ancrage social contre dépolitisation
1 - Constat : Libération rapporte ceci à propos d’un sondage récent :
Les deux tiers des Français (67%) n’ont confiance ni en la droite ni
en la gauche pour gouverner le pays, selon la première vague du
baromètre de la confiance politique réalisé par la Sofres pour le
Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), Edelman et
l’institut Pierre Mendès France, présentée lundi.
Seules 14% des personnes interrogées ont « confiance dans la gauche pour gouverner le pays » et 16% « ont confiance dans la droite ».
3% sont sans opinion. Selon le directeur du Cevipof, Pascal Perrineau,
la gauche ne profite pas de son statut d’opposition, la confiance étant
même plus forte à droite qu’à gauche.
2 - Question : Ou mène la dépolitisation ?
Que la gauche ne soit plus crédible ne débouche pas sur une
politisation de type activisme altermondialiste ou libertaire ou npa mais sur
une dépolitisation. En grosse tendance car dans ces cas là certains peuvent aller vers le NPA ou les libertaires mais c’est minoritaire, le gros du peuple prend les chaussons ! Donc pas plus de syndiqués ni de syndicalisme mais des luttes dos au mur vont de nouveau surgir . Retour à la religion ? En fait poursuite , celle du foot
! celle des jeux vidéos ! celle des films X ! Dans ces domaines le
culte ne se dément pas. Fini Dorothée vive Sex and the City en famille !
http://www.liberation.fr/politiques/0101613186-droite-ou-gauche-la-grande-defiance-des-francais
3 - Proposition : Inscrire les questions qui surgissent dans une problématique sociale à deux étages :
- Premier étage : des propositions qui satisfassent l’ensemble du peuple-classe - les prolétaires et
les couches aisés - contre la bourgeoisie comme mille fois plus prédatrice que l’islamisme radical . Un ennemi radical hyper nuisible
. Faut le dire. Elle comprend l’oligarchie
financière sans s’y résumer puisque les patrons participent à l’exploitation et que cela tombe dans leur poche.
60 millions de français concernés sur 65. Ces propositions doivent être compatibles avec le second étage.
- Second étage : face à la crise montrer que l’on privilégié les
solutions favorables aux prolétaires de moins de 3000 euros par mois.
50 millions de français concernés qui subissent les bas revenus.