Villach vous reconnaissez Jospin comme un honnête homme. Vous le décrivez comme un être assoiffé de pouvoir et prêt à tout pour le conserver.
S’il n’était motivé que par le pouvoir et non le désir de servir pourquoi se serait-il donné tant de mal à redresser le pays pendant 5 ans sans en tirer un quelconque bénéfice personnel ?
TocToc-ry les horaires dans les piscines à Lille ça fait longtemps que c’est fini, il vous arrive souvent d’être en retard d’un voire plusieurs métros…
Distance, libre à vous de penser que Mitterrand était un être frustre et inculte mais j’ai bien peur que vous ne soyez largement minoritaire. D’ailleurs Chirac ne l’était pas non plus même s’il affectait de le paraître pour qu’on ne le questionne pas trop tandis que Mitterrand affectait les débâts artistico-culturels.
La Veme a connu 3 rois fainéants : de Gaulle, Pompidou et Chirac.
De Gaulle à par avoir mi fin à la guerre d’Algérie s’est contenté de règner, voire même fuir à Baden-Baden. Paré de l’aura du héros de 1940-44 il avait toutes les cartes en main pour moderniser le pays, il n’en fit rien.
Pompidou fût un piètre gestionnaire, sous son septennat inachevé on vit notre capitale s’enlaidir considérablement au profit des finances de ses affidés affairistes immobiliers. Il éconduit rapidement un Chaban visionnaire, épaulé par le jeune Jacques Delors. De par son incurie il se conduira en cigale alors que les nuages allaient s’amonceler et que la crise mondiale s’annonçait. Giscard eut à s’y confronter dès son élection – on me rétorquera qu’il fut le ministre de l’économie de Pompidou certes.
Même s’il est vrai que Giscard a cristallisé une forme de détestation de sa personne - qu’il tenait en haute estime – comme notre cher auteur –il s’est avéré vrai réformateur voire modernisateur, en retrait par rapport à un Chaban dont la droite n’avait pas voulu.