Après les avancées que représente la loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique, il s’agit maintenant de passer à une politique plus forte de promotion de la vaccination.

Eh bien, après ça, tout est clair ! La « pandémie » a été inventée de toute pièces afin de vendre le plus de vaccins possibles. C’est pour cela que le gouvernement français en acheté des quantités insensées. L’objectif de cette opération était visblement de faire du fric, c’est clair pour tout le monde. On doit reconnaitre que Mme Bachelot s’est montrée à la hauteur de sa mission, en ancienne chargée de communication d’un grand laboratoire pharmaceutique qu’elle était. Elle a utilisé toutes les ficelles de la « com » pour essayer d’affoler le peuple de France et le pousser en troupeau abruti et belant vers les centres de vaccination. Puisqu’il s’agit d’une stratégie élaborée il y a plusieurs années, on comprend mieux l’Avis n°6 du 5 février 2009 du Comité Consultatif National d’Ethique qui justifiait par avance la vaccination obligatoire, on comprend mieux l’ahurissante Circulaire aux Préfets des zones de défense du 21 aout 2009 qui organisait les centres de vaccination comme une campagne militaire. Ces deux textes sont accessibles sur internet en passant par Google. On comprend mieux aussi le silence assourdissant de toute la classe politique qui, dès le début, était évidemment au courant et n’a rien dit. Et il faut bien admettre que sans internet, le coup aurait sans doute réussi. On est d’ailleurs passé à deux doigts de la vaccination obligatoire puisqu’il a été question il y a quelques semaines, selon Mme Bachelot elle-meme, de passer au niveau 6 de pandémie. On peut penser par ailleurs ce qu’on veut de Jane Burgermeister et de Jean-Jacques Crèvecoeur, il n’en reste pas moins que l’un et l’autre ont largement contribué à alerter, par leur site, l’opinion mondiale sur le caractère entièrement imaginaire de cette prétendue pandémie et sur les dangers de ce vaccin-là. Le scandaleux arrangement qui va sans doute clore ce premier épisode, puisqu’on nous en annonce déjà d’autres, à savoir que les laboratoires soient déjà payés d’avance pour de futurs achats de vaccins avec un argent qui aurait pu servir à autre chose pour la santé des Français, confirme qu’il s’agit essentiellement d’une opération financière.
On ne veut pas croire que d’autres desseins se dissimulent derrière celui-ci. Il reste à souhaiter aux gogos qui sont allés de faire piquer de ne pas développer d’effets secondaires et de ne pas avoir à s’en repentir toute leur vie.