Il est amusant de voir développer sur un ton grave la blague (bien trouvée) : Froid =météo, chaud=climat.
Question : combien faut-il d’hivers froids pour invalider le modèle du réchauffement ?
Un scientifique doit pouvoir répondre : aprés 1,2,3.. hivers froids, le seuil de confiance tombe à x,y,z.. A z, nous considérons notre modèle invalide.
Le modèle doit pouvoir des prévisions vérifiables à court terme, année par année, et non des prévisions pour 2050. Je serai mort alors. Je soupçonne dans la climatologie une falsification de principe de la méthode scientifique. Donc tout est à mettre à la poubelle et ces « scientifiques » à la porte, un point c’est tout. Sur des sujets aussi graves, on n’a pas le droit de jouer les savants amateurs pour satisfaire ses convictions malthusiennes.
En tout état de cause, pallier le froid coute plus cher que pallier le chaud (une bière bien fraiche y suffit souvent). Sans les sacrés farceurs, la catastrophe de cet hiver aurait pu être évitée. Un hiver rude est un malheur plus grand qu’un été chaud. A la porte les prophètes de malheurs imaginaires !
Que le GIEC annonce publiquement son critère de falsifiabilité, et je prendrais ces sacrés farceurs qui ignorent Popper plus au sérieux. Des menteurs qui se la pètent du nom de scientifiques et nous font prendre de mauvaises décisions, voilà les gens que les Journalistes admirent. Ils ne sont pesponsables : c’est l’Académie des Sciences qu’il faut ausculter, diagnostiquer et soigner.