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Commentaire de PetitRappel

sur Sarkozy, rupture tranquille ou inquiétante illusion ?


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PetitRappel (---.---.139.236) 1er décembre 2006 17:17

Nicolas, Paul, Stéphane Sarkozy de Nagy Bocsa :

Carrière politique

En 1977, membre du comité central du RPR

1978-1979, délégué national des jeunes du RPR

1979-1981, président du Comité national des jeunes en soutien à Jacques Chirac pour l’élection présidentielle de 1981

1988, secrétaire national du RPR, chargé de la Jeunesse et de la Formation

1989, secrétaire national du RPR, chargé de l’Animation, de la Jeunesse et de la Formation

Co-directeur de la liste d’union pour les Élections européennes

1992-1993, secrétaire général-adjoint du RPR, chargé des Fédérations

Depuis 1993, membre du bureau politique

1995-1997 porte-parole du RPR

1998-1999, secrétaire général du RPR

1999, président du RPR par intérim

1999, tête de la liste RPR-DL pour les Élections européennes de juin

mai 2000, élu président du Comité départemental du RPR des Hauts-de-Seine

novembre 2004, élu président de l’UMP avec 85,1 % des voix.

PAS VU PAS PRIS ! :

FINANCEMENT ILLEGAL DU RPR :

* Affaire Elf * Affaires de la mairie de Paris * Affaire de la SEMPAP * Affaire des emplois fictifs du RPR * Affaire des HLM de Paris * Affaire des HLM des Hauts-de-Seine * Affaire des marchés publics d’Ile-de-France * Affaire Guy Drut * Affaire Maillard et Duclos

Les dates sont importantes :

(L’ENQUETE SUR L’AFFAIRE DES HLM DE PARIS (OPAC) A DEBUTE EN SEPTEMBRE 1994 POUR DES FAITS S’ETENDANT ENTRE 1989 ET 1995.)

(1976-1995 : L’AFFAIRE DES EMPLOIS FICTIFS DE LA MAIRIE DE PARIS.)

L’Union des Jeunes pour le Progrès (UJP, fondée en 1965) et l’Union des Etudiants pour le Progrès (UEP) ont tout d’abord constitué les mouvements de jeunesse des mouvements gaullistes successifs, avant que ne soient créés les Jeunes RPR, DONT L’UN DES PREMIERS RESPONSABLES NATIONAUX FUT NICOLAS SARKOZY (1978-1979)

Y-t-il de la fumée sans feu ?

Le nom de Nicolas Sarkozy apparait indirectement sur les listings truqués de la société Clearstream.

Par le biais de son avocat Thierry Herzog, il se porte partie civile dans cette affaire le 31 janvier 2006, relançant ainsi une affaire alors assoupie, relance à l’origine d’une importante crise politique en avril-mai 2006.

Selon le « corbeau », le ministre de l’Intérieur aurait disposé de 2 comptes dans une banque milanaise, la BANCA POPOLARE DI SONDRIO, déguisés sous des noms tirés de son identité complète, rappelant ses origines hongroises : Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa.

Par-là, le « corbeau » sous-entendait que les personnes citées par le courrier, y compris Sarkozy, auraient touché des pots-de-vins dans l’affaire des frégates de Taïwan.

Imad Lahoud, l’auteur présumé des falsifications des listings, a affirmé début novembre 2006 (après l’avoir précédemment nié) qu’il avait rencontré Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’économie, 2 fois en 2004 pour « évoquer » ce dossier, ce que Sarkozy dément.

Il affirme en effet n’avoir appris toute l’histoire que par voie de presse. L’affirmation de Lahoud concorde avec la thèse du journaliste Eric Decouty , qui affirme que cela prouve que Nicolas Sarkozy aurait été mis au courant de la manipulation dont il était l’une des cibles plus tôt qu’il ne le prétend (2005) et qu’il a essayé de tirer profit politiquement de cette situation en laissant faire...


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