@ impertinent3
Le principe de précaution, principe philosophique au départ, est devenu un outil politique de décision au service d’une pensée utilitariste.
L’utilitarisme est une doctrine éthique qui prescrit d’agir (ou ne pas agir) de
manière à maximiser le bien-être du plus grand nombre des êtres
sensibles. Elle est l’idée que la valeur morale d’une action est
déterminée uniquement par sa contribution à l’utilité générale. Jeremy
Bentham (1748-1832) est le premier grand théoricien de l’utilitarisme,
elle constitue le fondement de la philosophie morale et juridique
anglo-saxonne depuis la fin du xviiie siècle.
Dans cette pensée, on considère que les
actions justes sont celles qui contribuent à accroître le bonheur du
plus grand nombre sans se préoccuper des cas marginaux. On fait prévaloir l’intérêt général.
«
Les vaccins ont des effets négatifs sur beaucoup plus de gens que ce
que la régie de la Santé n’a jamais estimé. Pourtant on continue
d’adopter la position pseudo-morale de l’utilitarisme pour justifier de
ne pas effectuer les études scientifiques permettant d’identifier, qui
est à haut risque, qui au plan génétique et biologique risque de
souffrir de la vaccination et de ne pas être en mesure d’affronter une
vaccination. Consentez à dire, oui, mais c’est le prix à payer,
certains en souffrent, mais c’est pour le bien de la majorité. C’est
pourquoi je m’oppose à l’argument utilitariste dans toute politique
publique … parce c’est une forme dangereuse. »
Combien de personnes
peut-on sacrifier ? 500 ? 5000 ? 500.000 ? Combien de personnes peut-on
sacrifier au nom du bien commun … pour protéger le public de la maladie
? »
(Retranscription
citations Barbara Léo Fischer, présidente NVIC (centre national
d’information sur la vaccination - Vienna, USA - Vidéo « Silence on vaccine »).