La Piste aux étoiles
J’avais classé Monsieur Besson (pas le réalisateur du Ve élément, l’autre, le traître) dans la catégorie des gens dont le monde n’a guère besoin. Mais il voulait s’expliquer le bougre alors j’ai prêté une oreille difficilement neutre.
Après un excellent cirage de pompes Chabotien sur son enfance,le gaillard a rapidement fait le tour de son inefficacité en parlant avec franchise pour tourner en rond et ne rien dire (wood language) ni expliquer sa conduite renegate autrement que par un appétit assoifé et arriviste du pouvoir. Bref un guignol de la Sarkozie pétulante.
Deuxième guignol, le clown blanc (et pour cause) de vous savez qui, fille de son père, qui a hérité des mauvais gènes sans profiter du côté hableur du grand protecteur de la « vraie » France. Que le spectacle continue...
Ah ben alors... j’en reviens pas... Vincent Peillon de viendra pas... et un troisième clown politique un... quel pied de nez navrant à des télespectateurs (français ou pas) qui attendaient le suite de l’émission.
Pour tout spectacle, fût-il de cette minableté, il faut une chute. Ce fut avec Madame Chabot qui vient nous pleurnicher, comme la gamine qui n’a rien fait de mal, qu’elle au contraire avait bien fait les choses et que c’était pas de sa faute et qu’il fallait pas la gronder (ni la virer)...
Et dire que pour voir « cela » plus tôt, l’autre gugusse nous a privé des quelques minutes de pub de début de soirée...
Avec l’argent récupéré sur les vaccins, ne pourrait-on pas acheter de vrais hommes et femmes politiques sérieux et responsables ?