Bonjour Marsu,
Bel article en effet, comme d’hab...
Par ailleurs, dommage pour tous les élèves que vous n’avez pas eus...
Au fait, qu’est ce qui se passe, petite crise de narcissisme (défaillant) ? Rasssurez vous, nous on n’a pas de problème avec votre pseudo...
Merci pour le podcast, il fait gagner beaucoup de temps...
ce qui m’amène à l’affirmation suivante....
Cet article et ces commentaires ne rendent pas compte de ce qu’une bonne partie des français, en tout cas ceux auxquels je ressemble, n’ont pas du temps à perdre en suivant l’intégrale ou même plus de 5 mn de ce genre d’émission. Peut être considèrent ils qu’ils ont suffisamment d’éléments depuis quelques années au moins pour « juger » puisque c’est à « eux de le faire » ?...
A qui une telle émission s’adresse-t-elle sinon à ceux qu’il faudrait séduire par tel ou tel effet ou petite phrase pour masquer le vide, le manuqe de profondeur d’esprit, qui « sous tend » tout ce discours, (hormis quelques journalistes, analystes ou supporters inconditionnels). Est ce l’âge ou la formation, j’ai l’impression que depuis les leçons de Bourdieu, les candidats (lui comme elle) sont encore plus le produits des déterminismes sociaux, de leur histoire personnelle et familiale... incapables d’une pensée et donc d’une parole libérée de leurs déterminismes (ce qui supposerait qu’ils prennent en compte ces dits déterminismes soit pour les utiliser soit pour s’affranchir de leurs effets). Si peu affranchis que comme l’évoque dit le podcast, Sarkozi rappelle inmanquablement (j’en ai autant pour l’autre candidate pour qui je serai obligé de voter comme Bernard Maris, la mort dans l’âme) des condisciples masquant un malaise personnel, moins musclés des jarrets que de la langue, à la recherche d’une reconnaissance ou d’un statut de supériorité, avec qui on a partagé des jeux ou des moments dans la cour d’école.
Cordialement
Marc P