le problème est qu’une majorité assez nette de la population des sociétés occidentales est impregnée des valeurs bourgeoises.
en effet, celles ci, se sont répandues dans l’ensemble des catégories sociales , ce qui se traduit notamment pare l’hyperindividualisme qui caractérise la société contemporaine ou encore la sacralisation de la propriété privée.ainsi, la majeure partie des personnes hostiles aux « bourgeois » ,aspirent plus à s ’éléver dans la hiérarchie sociale et adopter le train de vie des dominants, plutot qu’a batir une société dont les fondements idéologiques se substitueraient à ceux de la bourgeoisie,meme si fort heureusement une minorité non négligeable d ’individus infirment ce postulat.
donc, la rupture avec cet ordre social faconné par les valeurs bourgeoises ne va pas de soi, car elle implique une déconstruction de l’imaginaire collectif, ce qui est d ’autant plus délicat que l’individu est au quotidien soumis à un ensemble d ’injonctions qui renforcent insidieusement sa dépendance au système capitaliste.
certains pensent des lors que la seule solution réside dans une rupture brutale,que représenterait une revolution..personnellement je crois plus aux vertus du réformisme pour batir une société apaisée, meme si mes contempteurs me rétorqueront que justement cette solution voue à l’immobilise et à la perennité de l’ordre établi.