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Accueil du site > Tribune Libre > L’Homme occidental, si « rationnel » et si raisonnable qu’on (...)

L’Homme occidental, si « rationnel » et si raisonnable qu’on nous le dit ?

Petit coup de gueule en forme de faux billet d’humeur écrit à l’emporte pièce un petit matin de janvier, voici jetés sur cette page web quelques exemples de notre « vie » quotidienne, des faits de société qui, pris en opposition à leur contraire paraissent vraiment illusoires, honteux, analgésiant, tel un bon cacheton de chez Sanofi, cette fausse honte que beaucoup affichent en public de vivre dans le luxe du superflu ici-bas.

Nous voulons tous un boulot mais on critique le patron, nous cherchons donc par défaut plus une activité qu’un travail en soi, mais nous prenons conscience qu’il faudra beaucoup se battre pour simplement faire ce qu’il nous plait, se résignant alors au salariat, on épouse la cause écologique mais on prend sa voiture pour aller acheter son tabac, puis on jette ses mégots par terre, on dit que facebook est l’invention qui permet vicieusement de ficher les gens à outrance et en masse mais nous sommes heureux que nos contacts connaissent nos goûts, nos états d’âmes, nos humeurs, nos opinions, ce à quoi nous sommes "fans", nous nous occupons l’esprit avec des barrières que l’on se colle dans la tronche comme étant des illusions nécessaires puis inaliénables à notre vie, déprimons pour des préoccupations sentimentales et amoureuses, alors que ces questions sont futiles pour tout ceux qui sont dans l’angoisse de ne pas pouvoir manger le lendemain, notre esprit s’évade alors dans l’alcool, la drogue, la musique, l’écriture, la peinture ou tout autre art comme échappatoire à tout nos désordres intérieurs que l’on ne parvient pas à canaliser, nous n’avons pas d’argent pour voyager mais nous faisons des crédits sur vingt ou trente ans pour acheter une maison ou une voiture, nous critiquons le grand Capital, mais nous achetons un écran plasma avec notre premier salaire, nous sommes solidaires contre la misère mais, parce que nous ne pouvons rien y faire, nous devons passer, impassibles et insensibles devant le clodo qui dort en bas entre deux cartons avec une malheureuse bouteille de piquette pour se réchauffer l’hiver et un quignon de pain pour festin, nous achetons du café "charte AB" ou label "Commerce équitable" du Kenya avec nos grands airs fiers d’âme sensibilisée aux désastres causés par le commerce international et l’OMC sur les petits producteurs, mais nous l’achetons chez un baron de la grande distribution alimentaire qui rogne sur les salaires, sape la concurrence en baissant ses prix pour attirer le client, puis récupérer le monopole et avoir le dernier mot sur la hausse des prix, exploiter sa main d’œuvre en toute impunité pour accroître ses marges et tirer profit de ses parts de marchés une fois le nouveau monopole acquis (d’où l’art d’acheter du commerce pseudo équitable dans les tranchées du champ de bataille de la guerre économique), nous voudrions être libres mais la première chose que l’on aspire après avoir quitté le foyer familial ou les études de fac est de se prostituer à une entreprise, on râle, on gueule dans la rue un jour par mois, on vote le changement pour que surtout rien ne change, on voudrait aussi tant qu’à faire en finir avec l’assistanat qui fait de nous des êtres humains vivant par procuration, fier de se prendre enfin nous mêmes par la main pour guider notre destin, mais dans l’heure qui suit on se rend compte que rien de ce qui nous entoure dans notre logement n’a été produit de nos propres mains ou de notre cerveau, que tout vient des petits enfants ouvriers vivant avec 10 centimes par jour en Chine, et enfin, nous nous insurgeons haut et fort que la mondialisation est un crime organisé qui nous éloigne de la nature alors que nous consommons des tomates ou des oranges en Janvier, du Coca-Cola et des bananes... Nous aimons la théorie politique et les penseurs du 19ème siècle, mais nos actions sont à mille lieues de ce que nous proférons avec tant de fierté.

Nous voulons tous un boulot mais on critique le patron, nous cherchons donc par défaut plus une activité qu’un travail en soi, mais nous prenons conscience qu’il faudra beaucoup se battre pour simplement faire ce qu’il nous plait, se résignant alors au salariat, on épouse la cause écologique mais on prend sa voiture pour aller acheter son tabac, puis on jette ses mégots par terre, on dit que facebook est l’invention qui permet vicieusement de ficher les gens à outrance et en masse mais nous sommes heureux que nos contacts connaissent nos goûts, nos états d’âmes, nos humeurs, nos opinions, ce à quoi nous sommes "fans", nous nous occupons l’esprit avec des barrières que l’on se colle dans la tronche comme étant des illusions nécessaires puis inaliénables à notre vie, déprimons pour des préoccupations sentimentales et amoureuses, alors que ces questions sont futiles pour tout ceux qui sont dans l’angoisse de ne pas pouvoir manger le lendemain, notre esprit s’évade alors dans l’alcool, la drogue, la musique, l’écriture, la peinture ou tout autre art comme échappatoire à tout nos désordres intérieurs que l’on ne parvient pas à canaliser, nous n’avons pas d’argent pour voyager mais nous faisons des crédits sur vingt ou trente ans pour acheter une maison ou une voiture, nous critiquons le grand Capital, mais nous achetons un écran plasma avec notre premier salaire, nous sommes solidaires contre la misère mais, parce que nous ne pouvons rien y faire, nous devons passer, impassibles et insensibles devant le clodo qui dort en bas entre deux cartons avec une malheureuse bouteille de piquette pour se réchauffer l’hiver et un quignon de pain pour festin, nous achetons du café "charte AB" ou label "Commerce équitable" du Kenya avec nos grands airs fiers d’âme sensibilisée aux désastres causés par le commerce international et l’OMC sur les petits producteurs, mais nous l’achetons chez un baron de la grande distribution alimentaire qui rogne sur les salaires, sape la concurrence en baissant ses prix pour attirer le client, puis récupérer le monopole et avoir le dernier mot sur la hausse des prix, exploiter sa main d’œuvre en toute impunité pour accroître ses marges et tirer profit de ses parts de marchés une fois le nouveau monopole acquis (d’où l’art d’acheter du commerce pseudo équitable dans les tranchées du champ de bataille de la guerre économique), nous voudrions être libres mais la première chose que l’on aspire après avoir quitté le foyer familial ou les études de fac est de se prostituer à une entreprise, on râle, on gueule dans la rue un jour par mois, on vote le changement pour que surtout rien ne change, on voudrait aussi tant qu’à faire en finir avec l’assistanat qui fait de nous des êtres humains vivant par procuration, fier de se prendre enfin nous mêmes par la main pour guider notre destin, mais dans l’heure qui suit on se rend compte que rien de ce qui nous entoure dans notre logement n’a été produit de nos propres mains ou de notre cerveau, que tout vient des petits enfants ouvriers vivant avec 10 centimes par jour en Chine, et enfin, nous nous insurgeons haut et fort que la mondialisation est un crime organisé qui nous éloigne de la nature alors que nous consommons des tomates ou des oranges en Janvier, du Coca-Cola et des bananes... Nous aimons la théorie politique et les penseurs du 19ème siècle, mais nos actions sont à mille lieues de ce que nous proférons avec tant de fierté.

Et oui, notre vie quotidienne ici-bas est remplie de paradoxes volontairement maintenus pour que vive la consom-addiction de la société matérialiste servile, superflue et d’une abyssale arrogance. Face à ces déconvenues et ces contradictions les plus criantes, nous devenons ainsi bien pâles face à nos idéaux de socialisme du XXIème siècle...alors, il faudra s’accrocher pour ne pas que ce monde meurtrier déguisé en madone de la liberté ne tue nos rêves utopiques d’humanisme et idéaux d’égalité.

Samuel Métairie

http://sam-articles.over-blog.com


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13 réactions à cet article    


  • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 19 janvier 2010 11:21

    Deuxième paragraphe : excellent !

    Troisième paragraphe : nul ! ! !


    • Samuel Moleaud 19 janvier 2010 17:50

      Oui désolé, j’ai fait copier-coller du texte deux fois par mégarde de l’ordinateur à l’espace de rédaction du site, et du coup il y a un paragraphe en double qui ne sert à rien. Si c’est cela que vous voulez dire ? ;)


    • savouret 19 janvier 2010 11:37

      l’auteur de cet article met bien en exergue les contradictions quotidiennes auxquelles nous sommes confrontés ,entre la critique de la société matérialiste dans laquelle nous évoluons et la permanence de modes de vie antinomiques de nos discours .

      en effet, a fortiori,avec la crise, nous percevons de plus en plus les effets pervers de l’ultralibéralisme ,et plus globalement du modéle consumériste et hyperindividualiste qui caractérise nos sociétés occidentales.

      Néanmoins, la population est tellement soumise depuis des décennies à des conditionnements sociaux, ayant pour finalité la dépendance vis à vis du capitalisme et de son avatar la société de consommation,qu’il en résulte les ambivalences que l ’auteur met en exergue chez le citoyen lambda.

      comme l’ont depuis longtemps démontré les spécialiste des sciences humaines, il existe en effet une force d ’inertie des mentalités , qui explique pourquoi le décalage est très important entre le moment ou les individus prennent conscience qu’ils doivent transformer leurs pratiques quotidiennes et le moment ou ce changement devient effectif.

      de plus, comme vous le signalez, le système capitaliste et les institutons l’incarnant font en sorte au quotidien d ’entretenir nos paradoxes en nous soumettant à des injonctions totalement contradictoires.

      ainsi, nous sommes incités a adopter des comportements plus respectueux de l’environnement, mais dans le meme temps nous sommes quotidiennement sollicités par des publicités ou des discours médiatiques qui exacerbent la frénésie consumériste, et véhiculent l’idée qu’il faut consommer de nombreux biens et loisirs pour exister socialement.

      ce constat pourrait engendrer un certain fatalisme, néanmoins j’ose ésperer que la crise polymoprhe actuelle nous permettra de repenser en profondeur nos modes de vie ainsi que le système économique et social qui en constitue la genèse.ceci n ’est pas évident, tant l’imaginaire collectif est impregné par les valeurs du capitalisme néolibéral.la déconstruction de cet imaginaire capitaliste est peut etre dès lors une utopie.

      Toutefois, j ’ose espérer que les sociétés occidentales ainsi que l’ensemble des sociétés humaines se rendront plus profondément compte, que ce système outre son impact écologique délétére est loin de garantir le bonheur individuel et collectif, et qu’au contraire il alimente toujours plus de frustrations, d ’ou les troubles psychologies croissants qui affectent les populations occidentales.


      • Surya Surya 19 janvier 2010 13:53

        Un coup de gueule comme il en faut de temps en temps pour nous rappeler en effet nos contradictions, voire nos aberrations. Tout ça n’a aucun sens en effet. C’est en effet tout le problème de l’honnêteté que nous pouvons avoir envers nous mêmes, sommes nous capables de nous voir tels que nous sommes, sommes nous encore capables d’accepter de voir nos défauts pour ensuite nous remettre en question, et si possible nous changer en profondeur, ce qui n’est pas toujours facile ?

        On nous fait croire tout et son contraire comme le dis Savouret. Il y a également un véritable cloisonnement entre nos bonnes intentions et nos actes réels.

        Vous parlez d’homme occidental, personnellement je trouve que dans nos sociétés cloisonnées, il y a pire encore que ces contradictions, c’est le manque total de dialogue entre les gens, surtout dans les grandes villes. Il y aurait beaucoup d’exemples, depuis les gens assis les uns en face des autres dans le métro, et qui n’engagent pas la conversation, jusqu’à ce petit club de sport devant lequel je passe parfois le matin, et où je vois quelques personnes attendre l’heure d’ouverture. Personne n’engage la conversation, les clients de ce club (peut être même font il partie du même cours...) sont alignés devant la porte, ils attendent en silence et ne se regardent même pas.

        Tout le monde n’est pas comme ça, heureusement, il y a encore des personnes qui ont été habituées à autre chose, qui ont su rester elles mêmes malgré l’ambiance générale (mais c’est malheureusment de moins en moins vrai, et c’est compréhensible), et avec qui on peut discuter de façon sympa dans le bus ou ailleurs. Ces personnes là engagent la conversation de façon tout à fait naturelle, parce que c’est en effet naturel de se parler, et ne vous regardent pas d’un air outré ou hyper surpris si vous le faites (ou alors répondent hyper rapidement puis vite, vite, détournent le visage et regardent ailleurs, comme si elles étaient soudain prises de panique et avaient peur des conséquences possibles d’échanger trois mots le temps d’arriver à sa station et descendre) .

        Nous vivons dans une société qui ne fait que parler de communication, il faut absolument communiquer, tout est fait pour que nous communiquions, mais pour que nous communiquions de façon technologique.
        On passe pour des ringards ou des abrutis si on n’a pas le dernier téléphone portable hypercommuniquant, le dernier palm je sais pas quoi (je ne sais pas ce que c’est exactement) le dernier gadget qui permet de s’envoyer des VIDEOMMMSMMSPHOTOS à très très très haut débit, avec des gens parfois qu’on connait à peine. La technologie est nécessaire, c’est un domaine très intéressant, mais elle doit rester dans un cadre précis, qui est celui du véritable besoin.

        La vraie communication, celle d’humain à humain placés en face à face, de nos jours elle fait peur. Et ça, c’est la pire contradiction de notre société, car elle suppose que nous nous remettions en question en profondeur, que nous nous changions intérieurement en temps qu’êtres humains, tandis que d’autres sortes de contradictions, correspondant à des attitudes plus matérialistes, seront plus faciles à corriger.

        Je pense que si on avait un meilleur sens de la communication, (sans parler du fait qu’il y aurait plus de solidarité, etc, ce qui est évident) il y aurait également moins de malentendus entre les gens. J’ai remarqué que dans notre société, le manque de dialogue, cette habitude que nous avons perdue d’aller spontanément vers les autres, de parler (exactement comme le font d’ailleurs les gamins, qui engagent la conversation de façon tout à fait spontanée, avant qu’un jour « quand ils sont assez grand pour comprendre » (! !) on leur dise : « mais laisse donc la dame tranquille, tu l’embêtes ! » ou « mais enfin, Untel, ça ne se fait pas de parler comme ça avec des inconnus ! ») engendre le fait que les gens premièrement deviennent hyper méfiants ou hyper timides (Il y a longtemps, j’avais dis dans un commentaire sur Agoravox TV ou Naturavox je sais plus, que nous vivons dans des sociétés qui nous rendent maladivement timides, et que dans d’autres cultures, les choses sont différentes. Je le pense toujours.) et ensuite mettent un temps fou à bien connaître les autres.

        Tout va trop vite. Nous prenons de moins en moins le temps de bien connaître les autres, nous réagissons selon des critères prédéfinis, et cela a souvent pour conséquence un manque total de compréhension, des malentendus, des procès d’intention, des jugements injustes des autres, faits à l’emporte pièce, donc, sur la base de ce qu’on pense être, et non de ce qui est réellement.


        • Surya Surya 19 janvier 2010 14:30

          J’ai dis : "et ensuite mettent un temps fou à bien connaître les autres.

          Tout va trop vite. Nous prenons de moins en moins le temps de bien connaître les autres,"

          Plus clairement  : nous n’avons pas envie de prendre le temps de bien connaître les autres, ce qui fait qu’on met un temps fou à comprendre le pourquoi d’un comportement, ce qui nous pousse à émettre des jugements sur une personne de façon trop rapide.


        • Samuel Moleaud 19 janvier 2010 17:47

          Exactement, il y a un manque de dialogue et d’échange dans les grandes villes, c’est justement l’art du système que d’individualiser au maximum les populations urbanisées. Imaginez que la population d’un quartier s’organise sur une place publique tous les matins pour commencer à imaginer un projet collectif et social pour le développement de leur ville...

          Imaginez qu’un groupe d’ouvriers venant de se faire licencier car leur usine ferme ses portes pour cause de « crise » ou parce que l’entreprise est rachetée par des fonds de pensions. Imaginez que ces salariés stoppent la grève, reprennent le contrôle de l’entreprise, la rachète en foutant un coup de pied au c** à la direction, au conseil des actionnaires et au patron, socialisant la gestion de l’entreprise...Je vais loin, mais l’échange dont vous parlez pourrait rétribuer aux gens la force de s’associer. Or le pouvoir bourgeois « sait » trop bien que si les gens se réunissent, si le peuple retrouve sa souveraineté, alors il s’écroule comme un château de cartes.


        • ddacoudre ddacoudre 19 janvier 2010 17:11

          bonjour samuel

          bien venu au club rarissime de ceux qui ont compris que ce n’est pas la raison qui commande e que nous ne disposons pas du libre arbitre, car ce sont les évènements construits précédenmant qui dirigent nos choix, même si nous avons la conscience de le comprendre et les moyens de les construire
          tout ce qui existe a une raison d’être, c’est là notre seule liberté
          cordialement..


          • savouret 19 janvier 2010 18:15

            le problème est qu’une majorité assez nette de la population des sociétés occidentales est impregnée des valeurs bourgeoises.

            en effet, celles ci, se sont répandues dans l’ensemble des catégories sociales , ce qui se traduit notamment pare l’hyperindividualisme qui caractérise la société contemporaine ou encore la sacralisation de la propriété privée.ainsi, la majeure partie des personnes hostiles aux « bourgeois » ,aspirent plus à s ’éléver dans la hiérarchie sociale et adopter le train de vie des dominants, plutot qu’a batir une société dont les fondements idéologiques se substitueraient à ceux de la bourgeoisie,meme si fort heureusement une minorité non négligeable d ’individus infirment ce postulat.

            donc, la rupture avec cet ordre social faconné par les valeurs bourgeoises ne va pas de soi, car elle implique une déconstruction de l’imaginaire collectif, ce qui est d ’autant plus délicat que l’individu est au quotidien soumis à un ensemble d ’injonctions qui renforcent insidieusement sa dépendance au système capitaliste.

            certains pensent des lors que la seule solution réside dans une rupture brutale,que représenterait une revolution..personnellement je crois plus aux vertus du réformisme pour batir une société apaisée, meme si mes contempteurs me rétorqueront que justement cette solution voue à l’immobilise et à la perennité de l’ordre établi.


            • distance critique 19 janvier 2010 22:47

              Excellent billet


              • Markoff 20 janvier 2010 00:09

                @ l’auteur,
                 
                Pour l’anecdote, je crois que vous avez battu le record de la phrase la plus longue ....

                à l’école du journalisme, ce serait un zéro pointé !


                • Samuel Moleaud 20 janvier 2010 00:20

                  Un grand merci à vous pour cet éloge... !! ;) ....


                • Biaise Biaise 20 janvier 2010 09:39

                  Tiens, un gus qui a un projet professionnel similaire au mien.
                  Tiens, bizarrement nous faisons le même constat sur le comportement des petits occidentaux agrippés à leurs normes et à leur mœurs comme une araignée à sa toile.
                  La différence c’est que l’araignée, c’est elle qui construit sa toile, choisit où elle la place et son architecture, tout en fabricant elle-même la matière première nécessaire.
                  Dans le genre, billet d’humeur libre, c’est réussi !


                  • rocla (haddock) rocla (haddock) 20 janvier 2010 09:52

                    Le monde avance de plus en plus .

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