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Commentaire de Montag

sur Le mythe de la fin du pétrole


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Montag Montag 21 janvier 2010 13:47

Votre article est une farce ! Mais pourquoi ne pas avoir attendu le 1er avril ?

« La quantité de pétrole disponible ne dépend que de la technologie utilisée et donc du prix auquel on peut le payer. »

Mais bien entendu ! C’est une évidence pourquoi on n’y a pas pensé plus tôt !?! Faut vite allez le dire aux USA où le pic de production s’est produit en 1970 ! Pourtant en quarante ans les techniques d’extraction ont bien évolué mais rien y fait...

Et les USA ne sont pas un cas unique, il y aussi le Danemark, la Norvège, l’Indonésie, l’Iran, le Koweit, la Libye, le Mexique et le Venezuela comme exemples principaux de gros pays producteurs ayant dépassé leur pic de production.

« L’erreur de cette théorie est que la quantité de pétrole produite diminuera non pas parce que les réserves s’épuisent, mais parce qu’on utilisera d’autres sources d’énergie. »

Fort amusant comme raisonnement. Pensez-vous réellement que l’on va laisser plein de pétrole exploitable sous notre sole sous prétexte qu’on va utiliser du charbon, des biocarburants, de l’hydrogène, des énergies renouvelables et de l’énergie nucléaire à la place ?

Mais pourquoi alors l’énergie utilisée pour nos transports (marchandises et personnes) provient-elle à 98% de l’énergie du pétrole ? Toutes vos énergies citées existent déjà, si c’était réellement intéressant, je ne vois pas pourquoi on l’utiliserait encore notre « bon vieux pétrole ».

« C’est notre travail qui transforme les ressources naturelles en bien économique. Ainsi la quantité de ressources disponibles n’est fonction que de notre connaissance et de notre travail qui n’ont aucune limite. »

Où est votre sens de la logique ?

Allez-dire ca aux poissons qui sont en surpêche. (From wikipedia : Des poissons encore aussi commun dans les années 1950-1960 que le cabillaud de l’Atlantique, le haddock de la mer du Nord et le thon rouge de l’Antarctique figurent aujourd’hui avec une centaine d’autres sur la liste des espèces menacées.)

Et pourtant les poissions sont « renouvelables » ce qui n’est pas le cas de nos énergies fossiles.


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