La présence d’une abondante
immigration dans certaines régions est même un
élément destructeur de l’identité nationale.
En effet, la transmission de la langue, de l’histoire et de la
culture françaises, à travers l’école, devient difficile sinon quasi
impossible là où les enfants d’origine française sont dramatiquement
minoritaires. Dans certains quartiers on assiste même à une
assimilation à l’envers : par défrancisation générale.
Les paysages urbains sont eux-mêmes modifiés par la destruction du
tissu commercial traditionnel au profit des commerces ethniques et des
enseignes déracinantes. Le bazar et le bidonville s’imposent comme
nouvelle forme urbaine dans des pans entiers de plusieurs départements
jusqu’ici français.
La perte des repères débouche souvent sur une dégradation des
comportements : agressivité gratuite, violence camouflée sous capuche
ou simples crachats devenus une pratique courante ; des signes
indiscutables d’un recul de la civilité et de la civilisation.
La progression de l’islam dans les banlieues – et la crainte de
toute attitude susceptible d’être qualifiée « d’islamophobe » – remet
en cause les valeurs mêmes de notre civilisation : la liberté de penser
par soi-même, l’esprit de libre examen, le respect de la personne, y
compris de la femme.
Dans ces conditions, parler « d’apport de l’immigration à l’identité française » relève, intellectuellement, de la novlangue et, politiquement, de l’imposture.