Albatar, ta réaction est ridicule.

Dommage pour toi mais tout ce que j’ai dit et vrai...

Je n’ai jamais eu de problème avec un juif, et j’en côtoie beaucoup (voire énormément), et comme je l’ai dit plus haut, individuellement ils sont trés sympa et je m’entends très bien avec eux... et c’est sincère.

Tu sembles dire que c’est moi le raciste, pour illustrer votre ouverture d’esprit, voici quelques exemples réels :
La fille d’une de nos connaissance a épousé un non juif, résultat, toute la famille les rejette...
Une autre, sa mère vivait avec un non juif. Quand elle est née, comme il n’était pas question que son père épouse une goy, il les a quitté...
Je baigne dans ce milieu (a partir d’un certain niveau, il faut bien constater qu’il y en a beaucoup), et des exemples j’en ai à la pelle.
celui que tu a traité de raciste parce qu’il nous avait dit que sa fille ne pouvait pas se marier avec « ça », est un amis qui m’a rendu de grands services et en qui je suis redevable.
Des discours sur la vie des enfants palestiniens qui valaient moins que rien....j’en ai entendu aussi en nombre.

Soit, tel les avocats, tu défends l’indéfendable, soit tu ne te rends pas compte de quelque chose qui est peut être normal pour toi.

Si mes écrits sont parfois provocateurs, ils sont malheureusement fondés, et les informations proviennent souvent de juifs eux-même. Parce que vous mettez souvent ces arguments en avant pour justifier vos facilités à débloquer les choses ou obtenir certains passe droit (ex : comment obtenir la régularisation d’une école juive ouverte illégalement en moins d’un mois, alors que n’importe quelle autre école aurait été immédiatement fermée, et que la procédure prend habituellement 1 an...).

Il y a une chose que l’on ne peut pas vous reprocher, c’est d’être solidaires, tant que chacun respecte les règles du jeux.

Et dés que quelques chose vous est refusé, ça fait scandale, le CRIF s’exprime, vous êtes une fois de plus victimes,« la shoah continue », et on vous accorde ce que vous demandez...
Vous faites peur, et personne ne vous résiste par peur du scandale...

Mais à force d’en demander toujours plus il y a un moment où tout craque et ce que j’exprime est le ressenti que je recueille sans le demander ou le provoquer. Vous êtes allés suffisamment loin pour que les gens aient besoin d’en parler.