bonjour olivier
excellent commentaire.
il fait l’objet de scandale car c’est notre manière aujourd’hui de traiter les problème qui mettent en cause les intérêts divergents, car nous n’avons pas progressé d’un iota dans la relation de la couverture des risques toujours perçus et comptabilisé comme une charge.
nous n’arrivons pas à concevoir que les problème de santé pourraient faire l’objet d’une comptabilisation séparé, hors du circuit marchand.
en l’absence de ceci il devient compréhenssible toutes les démarches de miniminisation des risques de nos production puisque s’en protéger augmente leur coût.
nous sommes dans ce jeu mortel depuis très longtemps, depuis le XVI siécle est connu la silicose et son traitement est devenu effectif en 1925, puis 1945, après que les allemands en aient pris consciences en 1855..
de cette situation en ait sorti les système de santé protecteur d’aujourd’hui, avec toujours quand l’on en apprend l’histoire une formidable réticence du monde patronal, qui voyaient dans ces processus protecteur l’augmentation du coût de leur production.
cela n’a pas changé et justifie tous les lobbies, toutes les connivences, toutes les conflits d’intérêts.
nous l’avons encore vu pour la grippe pour la pollution. la seule question que se pose les acteurs économique c’est de combien cela va augmenter nos coût de production.
ainsi notre santé est toujours soumise à cette équation.
alors les progrès viennent toujours de l’engagement d’une lutte des victimes contre la raison des mathématiques comptable. ce fut le cas pour la silicose et pour tout un tas de maladie professionnelle avant d’être reconnu comme telle. faire le procés des uns est des autres c’est déplacer le problème de sa source.
si les risque d’exploitation ne représentaient pas un surcoût personne ne s’opposeraient à en assumer la mise en place. la problématique ce situe Là.
durant les nombreuse années où j’ai siégé dans un comité technique des AT dans les caisses régionale, c’était toujours le motif avancé par les employeurs. ce n’était pas seulement un prétexte, mais une réalité.
d’autant plus une réalité qu’aujourd’hui ce coût est une partie importante du différentiel qui existe entre les productions occidentale et celles des pays d’Asie. pour autant nous n’avons pas peur d’acheter leurs fabrications qui sont donc moins chères, soulagées du coût de la santé et de la prospérité.
la solution n’est donc pas de trainer des responsable en justice mais de mettre en place une organisation bancaire pour couvrir ces charges sanitaires, plutôt que d’attendre qu’elles deviennent une source de profits marchands pour être développé.
j’en conviens un sujet très difficile, dont la passion ensevelit les possibles solutions.
cordialement.
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