La science n’a que des hypothèses sur l’après mort. Mais la plus probable est que le corps se désintègre (détruit par l’écosystème) et que l’esprit ne peut plus être étant donné qu’il a besoin du corps pour vivre. Par contre, de la même façon qu’il est possible de continuer à faire revivre un bras ou un rein d’un corps mort dans le corps d’une autre personne vivante, l’esprit peut lui aussi revivre à travers d’autres personnes à la condition que la personne morte ait au préalable enseigné ou inculqué à d’autres personnes ce qu’elle pensait. Ce n’est donc qu’un relicat d’esprit qui peut vivre à travers d’autres personnes.
Ceci est l’hypothèse la plus logique et la plus cohérente, mais on peut penser comme certaines religions que l’esprit est une âme qui n’a pas besoin de corps pour vivre (pas démontré scientifiquement dans l’état actuel des connaissances) et donc qu’elle peut être transmise entièrement à un autre corps après la mort qui reste à déterminer. Cependant cette hypothèse reste une très faible probabilité étant donné les grandes avancées scientifiques réalisées dans le contrôle de la pensée. Je rappelle que l’homme est aujourd’hui capable grâce à un dispositif électronique de faire bouger un curseur de souris et de cliquer, rien que par la pensée. Ceci n’est qu’une application de ses connaissances et ne représente qu’une infime partie de ce qu’il connaît de la pensée qui recouvrent aussi bien les disciplines de physiologie, génétique et philosophie.
Les scientifiques qui disent que tout est démontrable scientifiquement n’en sont pas. Tout n’est que probabilité. La théorie de la relativité à été démontrée à 99,999% avec je ne sais plus combien d’autres 9 derrière. Dans 1000 ans peut être que l’homme sera capable de rajouter une centaine de 9 derrière mais jamais il pourra confirmer quequechose rigoureusement à 100%. C’est le principe de la science. La seule façon d’être sur à 100% de quelque chose est la foi (mais sans garanti d’avoir raison) ou être la chose elle même (c’est à dire Dieu, s’il existe, si on veut comprendre le monde entier).