Les Cies d’Assurances font toujours la gueule lorsqu’il leur faut faire leur métier (très rémunérateur en l’occurrence) : honorer le contrat et rembourser un dommage !
Pour réduire l’érosion de leur bénéfices (quel gentil vocable) elles agissent - pour l’automobile - sur les routes, les véhicules, les conducteurs, par de fortes pressions sur l’ETAT, aidées par de puissants lobbies et assoc parfois « intégristes »...
- Dans l’article, seul l’homme - l’assuré malade ou mourant - semble être mis à l’index alors qu’il peut être envisagé d’étudier ce qui, par des causes extérieures, a nuit à sa santé (amiante, pollutions multiples, mal bouffe industrielle, nuisances diverses, pénibilités, éducation, etc...)
- ensuite, quid de la « chèreté » de la pharmacopée et des surcoûts engrangés par les usines idoines, polluantes de surcroit ?
- la « noblesse médicale » dont la sécu assure - grâce à un population et un « marché » captif - une jolie rente de situation... peu de toubibs terminent en faillite !
- in fine, l’organisation des soins dont on peut penser que mieux construite, des coûts parasites disparaîtraient (examens à répétition, conditionnements des médicaments et 1000 petits autres ruisseaux « gabgietivores »...)
De même que le conducteur n’est pas toujours l’unique « responsable » d’un accident donc de ses coûts, les causes et les effets méritent mise en examen autre que celui du pauvre baudet de la fable, d’autant qu’être malade n’est pas drôle et mourir moins encore, alors, en plus, se faire engueuler ... !!!!