Où j’apprends qu’il y a une union démocratique bretonne...
Pas trop difficile de prédire un taux d’abstention record.
J’habite Marseille et la visibilité d’un débat de fond s’en tient au Ferryboat qui a repris du service.
Rien dans la ville ni dans ma boite à lettres n’indique la mise en balance d’enjeux politiques.
Les combats des sous -chefs ont lassé et médiatiquement l’OM semble l’unique os à ronger exportable outre-canebière.
Aux précédentes élections, les leaders des verts étaient déjà passé au modem, un exlieutenant de Pasqua au PS, et diverses bessonades au menu de la ratatouille locale. Ils triquent sur le pouvoir et ambitionne une carrière ensemble. Entre eux.
Et les journalistes chargés de la propagande font partis du sérail. Le monsieur presse de la cité, lagardèrisé comme signe d’indépendance, n’est autre que l’ancien chef de communication du maire.
Les 20 cm de neige l’an dernier ont montré le niveau d’endormissement des responsables
qui ont décrété opération ville morte pendant 3 jours. Pas un pelle pour déblayer. Mais surtout aucune envie autre que de botter en touche dès qu’il s’agit d’agir.
Alors de là à avoir un projet politique...
Et comme aucun média national ne va venir y mettre réellement son nez, l’OM continuera pour longtemps à servir de cache misère. Et dans la ville meme, rare sont ceux qui connaissent l’existence d’élections proches et encore moins le nom des candidats.