@ Philippe,
« Les spéculateurs ont besoin pour leurs intérêts d’une économie qui se développe, » Pour que leur économie se développe, ils misent sur la ruine d’autres, comme certains qui brulent dans leur chaudières du blé, quand il est moins cher que le fuel....
" Elle
se déroule maintenant, et ce qui devrait être l’objectif essentiel pour
tout esprit sensé n’est pas de chercher, comme dans l’Allemagne des
années 30, des « mains invisibles » à des évènements aux causes limpides, « les USA ont augmenté de 1000 % leurs fournitures d’acier vers l’Allemagne dans les années 30. Ceci ne s’appelle-t-il pas de la spéculation sur la ruine ?
» mais de raisonner et de travailler aux solutions qui urgent. " j’ai fouillé dans le détail les entreprises citées dans le lien plus haut. Il ne s’agit que de la fin des vieux concepts. Ce qui urge donc, c’est de les remplacer le plus rapidement possible par les nouveaux qui attendent, et que l’opinion publique n’est pas encore prête à accepter, attachée à leurs anciens principes même usés jusqu’à la moëlle...
avez vous pris le temps de lire ceci ? http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/le-progres-du-futur-d-aujourd-hui-60268 je le termine par le constat suivant :
Le rendement d’un moteur central accouplé à tout un système de transmissions jusqu’à la roue, dépense plus de
deux fois plus de kilowatts, pour une vitesse deux fois inférieure, et
un accélération deux fois plus lente que le moteur dans la roue. Son
autonomie devient, au final, deux fois plus courte. En résumé, il y a autant de différence entre la politique actuelle du gouvernement et son concept centralisateur,
et la vision qu’offre le futur dès maintenant. Changer le concept des
origines des sources d’énergie déplace le centre de gravité vers le
consommateur, et donc, le rendement pour celui-ci au détriment du
premier, exactement comme avec ces deux modèles... voir la vidéo.