Ton nom, honni tout d’un coup, est livré aux chiens, fait le tour du Net, le Net qu’est pas la plus grande saloperie inventée par l’homme comme l’assénait le pathétique Jacques Séguéla, c’est l’homme ou ce qu’il fait du Net (ou d’autres choses) qu’est une immense saloperie.
Jacques Séguéla serait-il fliqué, sous surveillance, tout ce qu’il dit est disséqué, désossé, retenu contre lui, le pauvre. Serait-ce l’anti-Internaute du jour ?
La seule chose que je peux constater dans ce genre de réactions à des propos, c’est qu’elle ne touche que ceux qu’elle concerne, dans le but de défendre leur paroisse. On ne verra pas beaucoup de monde prendre la défense d’un ennemi politique pour des propos qu’il ne juge pas forcément scandaleux.
On verra ainsi 9 fois sur 10 un membre du parti au pouvoir défendre Besson, Hortefeux ou qq auteur que ce soit des phrases disséquées en question, critiquer violemment le PS pour les propos de Georges Frêche et vice versa...
Je trouve que cet argument du flicage est de plus en plus utilisé pour se victimiser, sans pour autant s’excuser ou argumenter des propos bien ou mal placés. Tout à fait dans la veine de la nouvelle bande « d’intellos », se la jouant victime, mais victime avec une place au chaud au Figaro, à iTélé, sur France2, sur France Inter, etc...., victime pouvant pourtant écrire ou dire tout ce qu’elle veut à longueur de journée.
Je pense que ce qui les gêne le plus, c’est que ça touche à leur image et que ça blesse leur ego. Ceux que je plaindrais plutôt sont ceux que les éditeurs refusent de publier.
Cdlmt