bonjour villach
j’ignorai que Chabot avait cette responsabilité, j’avais trouvé quelque changement dans le comportement de certains journalistes, pour présenter ou organiser une discutions où débat, je comprend mieux d’où me venait ce sentiment de déjà vu.
sur le fond, chacun cherche la vérité toute faite qui lui éviterait le lourd fardeaux de s’instruire et s’éduquer pour la chercher lui même au milieu de tous les revoie de miroir des autres.
cela suffirait a faire disparaitre la manipulation et la peur d’être trompé.
car effectivement les trois principes que tu poses ne sont pas une difficulté, mais une réalité a prendre en considération ni plus ni moins comme la contrainte de savoir que l’impartialité n’existe pas.
mais tu soulèves plus le problème d’un mal qui grandi, celui d’une forme d’infection de l’information. l’on sait que la communication distord l’information qui circule naturellement et que de bouche à oreile au bout, le général éclipse sous le préau.
retrouver cela sur le net est normal. ceci n’est pas de la désinformation, car c’est le produit d’une insuffisance biologique à se transmettre une information.
certes cela donne cour a la rumeur, dont il est parfois bien difficile d’aller corriger, voire impossible. mais ce n’est pas cette recherche qu’illustre bien l’affaire de cet enfant ou il s’agit de faire coller des image au discourt développé, car l’information est devenue spectacle émotionnel et visuel. ceci n’est pas le produit d’une insuffisance biologique mais bien une volonté consciente de construction erroné voire fausse. l’extention de cette pratique qui se repend aussi sur le net pose un problème et constitue a mon sens ce que j’ai considéré être une infection de l’information.d’autant plus grave que nous sommes sous une inflation d’informations et dans une période de méfiance comme jamais je n’avais connu.
au point que même parfois quand j’écris un article je vérifie à deux fois mes sources et je vérifie si mes analyses personnelles peuvent être recoupés avec des événements passés qui justifient qu’elle puissent être tenus.
cordialement.