30 ans de féminisme... 30 ans de lutte pour quoi ?
Des femmes qui luttent pour être l’égal des hommes ? Des femmes qui refoulent leur féminité et méprisent la masculinité ? Des femmes qui préfèrent réussir professionnellement que « faire des gosses » comme les animaux ?
Qu’elles ne s’étonnent pas de finir aigries, sèches, seules, lorsque lors horloge biologique les rattrapera ; qu’elles ne s’étonnent pas de voir les hommes préférer des africaines ou des asiatiques qui n’essaieront pas de les émasculer mais flatteront au contraire leur masculinité (force, virilité, pouvoir) en les enivrant de leur féminité, qui, au fond, n’auront d’autre ambition que d’avoir de beaux enfants.
Des femmes qui veulent élever des gamins sans hommes ? Qu’elles ne se plaignent pas ensuite d’avoir des gosses déséquilibrés, inaptes à la vie sociale et sentimentale. Des femmes qui prétendent « ne pas être des animaux » ? Qu’elles ne se lamentent pas du mal-être qui les ronge à à lutter contre leur « instinct » bestial ; car il n’y a pas plus destructeur que de lutter contre notre nature, d’essayer d’être ce que l’on n’est pas.
Que ces philosophes bourgeoises fassent ce qu’elles veulent de leur triste vie, je ne peux qu’éprouver de la compassion pour elles. Mais qu’elles ne viennent pas se mêler de la vie des autres, qu’elles ne viennent pas cracher sur celles qui s’accomplissent dans la maternité ; qu’elles ne viennent pas répandre leur fiel lorsqu’elles se rendent compte que l’idéologie contre-nature à laquelle elles ont sacrifié en vain leur existence n’intéresse plus beaucoup les femmes ; qu’elles ne viennent pas mépriser celles qui refusent ou se libèrent de ces fantasmes égalitaires et reviennent à la simplicité d’un projet inscrit au plus profond de leurs corps ; qu’elles ne gerbent pas sur les autres leur frustration d’avoir raté leur vie, leur refus de reconnaître qu’elles se sont trompées.
Vivez comme vous voulez, rester seules, sans enfants, ou avec des enfants qui ne vous verront que quelques minutes par jour, entre la télé et le lit, placez la priorité dans votre carrière et la lutte pour vos « droits » ; on verra le résultat des courses, qui est heureuses, vous, cadre supérieure dans une grande entreprise, ou celles qui ont sacrifié une partie de cette pseudo-liberté que vous revendiquez à l’accomplissement de leur maternité. Mais assumez votre échec au lieu de chercher à détruire le bonheur de celles qui n’ont pas fait fausse route avec vous.