La psychiatrie est une de seules branches de medicine qui n’a pas profité des découvertes d’asepsie et d’antibiotiques des siècles passés.
Les croyances freudiennes, basées sur la soi-disant expérimentation mais en réalité des mises en scène ont fait beaucoup de dégats. L’intérêt thérapeutique des approches freudiennes est inexistant.
La seule issue d’une vraie pathologie psychiatrique, pas un coup de blues comme il en arrive parfois dans la vie de chacun, est la médication savamment dosée. Un psychiatre est comme un cuisinier, sachant melanger des ingrédiants pour que le malade souffre moins et puisse vivre en société. L’etat du patient est comme un plat : reussi, avec gout ou insipide et indigeste.
Le suicide d’un patient est un echec pour le medecin, mais nombreuses autres maladies sont mortelles, aussi. Quelqu’un présentant une pathologie mentale a tout de même bien plus de chances de se suicider qu’une personne saine d’esprit.