Bourdieu ? Vous parlez de ce gourou dont la popularité est lié au fait qu’il a sut réactualisé les réponses autorassurrante de Marx et de Freud pour la part de la classe moyenne éduquée qui vit dans l’angoisse. Angoisse de savoir si son statut social insatisfaisant à ses propres yeux est lié à ses propres insuffisances ou au hasard, ou au contraire à la profonde injustice d’une société dominée par ceux qui ont les vrais pouvoirs. Bourdieu à l’avantage de leur épargner en partie l’humiliation supplémentaire de devoir se définir comme « exploités » ou « aliénés » ?
Parlons en. Sa principale « découverte » empirique et que la plus part des parents s’efforcent de faire ce qu’ils peuvent pour que leurs enfants s’en sortent dans la vie au moins aussi bien qu’eux ! Qu’il est plus facile de devenir clown plombier ou patron de la dépêche du midi quand on a des parents clown, plombier ou directeur de la recherche du midi. Grande avancée !
Sa principale analyse est que cela est extrêmement injuste.
Prenons deux exemples extrêmes qui démontrent l’inanité de ces thèses. En France comme ailleurs, on peut s’en tirer en gros, par les diplômes et la carrière institutionnelle qu’ils garantissent dans le public ou le privé, ou par l’initiative individuelle.
50% des polytechniciens sont enfants de profs (source éducation nationale) Pas de bourgeois, de dominant etc… Fait moins connu, une entreprise sur deux crée par des femmes l’est par des personnes issues de l’immigration au sens large (incluant les dom tom), source étude Medef. Bien sur, il y plus de salon de coiffure afro que de multinationale du cac 4O
Mais une sur deux ! C’est-à-dire que les femmes qui font le plus preuve d’autonomie, d’une volonté d’indépendance, de s’en sortir par leur propre moyen sont à la fois celle qui sont les moins passée par l’école et qui viennent de sociétés ou les « habitus » féministes » sont en principe les moins prégnant !
Femmes misogynes ? Je ne comprends pas en quoi cela infirmerait mon raisonnement.
Masculinisation et enfants sans père. Cela me parait clair, quand les pères sont virés par les mères, le résultat des courses et que dans une majorité de cas ils perdent rapidement le contact avec leur père, sans qu’il soit simple statistiquement de déterminer les cas ou la mère est à l’origine du processus en se vengeant d’avoir divorcé et les cas ou le père laisse tomber les gosses trop heureux de ne pas les avoir à charge pour refaire sa vie.
Que deviennent les jeunes hommes dans une société polygames ? Bonne question ! Heureusement, nous avons l’exemple des pays officiellement polygames et déjà un peu de recul chez nous. Quand les vieux riches trustent plus que leur part de jeunes belles, avec la facilité accrue qu’elles sont de plus en plus nombreuses à chercher le père qu’elles n’ont pas eu. Les jeunes beaux deviennent célibataires, clients de prostitué, homosexuels ou objet sexuel pour femme mures, mais moins souvent que dans le cas de hommes, parce qu’en dehors du fait qu’elles sont mures, la garde des enfants ne favorise pas vraiment les amours transitoires. Tous phénomènes en forte croissance de nos jours. Dans certains cas, comme on le voit dans les films des années trente, ils deviennent l’amant de la maîtresse de papa….
Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi la prostitution explose à nouveau en une époque de liberté sexuelle, comme à l’époque où les jeunes célibataires n’avaient pas accès aux femmes, (voir les mémoires de Stephan Sweig). ?
Enfin, vous finissez en insistant sur la nécessité de violenter la société ! Si tous cela ce sont des habitus ancré dans les méandres de nos cerveaux, tout volontarisme, même dans l’intérêt, malgré eux, des impétrant, est en pratique un viol. L’ingénierie sociale imposée « d’en haut » au nom de principes abstraits, cela ne marche jamais.
Vous en donnez d’ailleurs la preuve. Si baisser le temps de travail de 5 heures n’a rien changé, on ne voit pas pourquoi 2 heures de plus changerait quelque chose.
Et même, cela produit des retours de bâton pervers. A preuve à nouveau le divorce. En définitive, cette « liberté » associée à la victoire à peu prêt systématique dans la garde des enfants présentée comme une avancée, fait que le nouveau pauvre type aujourd’hui est une femme divorcée obligée de devenir caissière dans un supermarché pour élever ses enfants sans pères. Belles avancée féministe…
En plus, c’est mauvais pour la démographie. Son ex, conscient d’avoir accompli son devoir en la matière, mais « la nature finissant par parler », finit, mais pas toujours, la mort dans l’âme, par accepter de faire l’enfant qu’elle réclame avec insistance à sa jeune nouvelle compagne. Il est en général unique….
01/03 16:24 - Julie Dep
@Horchani Salah C’est vrai. Les justifications interminables, et vaines, et un certain (...)
01/03 12:53 - HORCHANI Salah
@ l’Auteure (Suite) Bonjour, En re-visitant votre site, aujourd’hui, j’ai (...)
28/02 10:42 - HORCHANI Salah
@ l’Auteure Bonjour, « Islam et autres tabous » ! En visitant votre site, mentionné (...)
18/02 23:02 - Salsabil
Tout aussi pathétique celui (ou celle ?) qui condamne sans chercher à savoir, à comprendre ou, (...)
18/02 22:59 - pseudo
Il est prouvé depuis la nuit des temps que les femmes peuvent remplacer les hommes à tous les (...)
18/02 22:53 - pseudo
Pathétique ces pauvres femmes fuyant la société préférant se retrancher à la maison derrière (...)
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