Bonjour à toutes et tous,
Enfin je le suppose puisque bq avance masqué et avec des pseudos...
Voilà déjà une exemple de crédibilité d’information ou de désinformation ? assumer ou ne pas assumer à visage découvert ses opinions.
Mais j’entre dans le débat de l’internet, des blogs divers, de cette parodie de démocratie via cet outil qui donne la parole « aux vrais gens », car nous avons toutes et tous une opinion.
Et bien, non ! parfois, il est urgent de se taire. D’avouer son ignorance sur un sujet, de ne pas avoir suffisamment d’éléments vérifiés et vérifiables pour argumenter en public. En effet, l’humilité est déjà une prise de conscience en soi.
J’ai pour ma part trouvé cette émission intéressante car au moins elle ouvre le débat, il suffit de surfer sur le net pour constater que la polémique est importante. Sujet visiblement sensible alors ? pour ainsi faire réagir les professionnels comme l’homme de la rue. ouvrir le débat : vers la véracité de l’information, vers un métier en pleine mutation sous diverses influence, sans parler de politique mais simplement des nouvelles technologies....débat vers une information ? ou communication ? pléthorique, info ou intox ? d’un monde qui va vite et d’une information qui ne vérifie pas toujours ses sources ; d’une demande aussi de notre part, tjs être en contact, savoir sans vraiment connaitre...
Si l’info n’était que le reflet de notre société de consommation, on consomme de l’info, du reportage de plus ou moins bonne qualité, du voyeurisme, du misérabilisme, de la médiocrité ; tjs pour cet éternel problème : le Bonheur, les trains qui arrivent à l’heure ça n’intéresse pas !
Le malheur d’autrui, les drames, le frisson du journal de 20h et sa déferlante d’horreurs, rassure la part un peu sombre de chaque individu, être témoin sans s’engager, avoir peur en étant loin...
A nous d’être en veille, vigilant, de faire des recoupements d’être exigeant dans la qualité de l’information que nous voulons et oui comme tout, cela demande un effort, parfois du temps, mais là aussi restons acteurs de ce qu’on nous propose à « voir, entendre, avaler, vomir... »
La confrontation des idées est bonne lorsqu’elle reste ouverte et bienveillante, en prenant en compte nos différences, ce qui sur ce support et à cet instant devrait rester notre credo.
Bonne journée. isabelle