Florentin Gastar est un spécialiste des brûlots mondialistes. Sa prose ne vaut pas la peine qu’on s’y arrête. Quand à F Desouche il est malheureusement tombé dés le début dans le piège du vocabulaire que lui ont tendu les mondialistes. Il aurait dû s’appeler Français tout court, obligeant les autres à se coller l’adjectif « de complaisance », « de convenance » ou « agréé UE ». Le coq est mal choisi. Historiquement c’est le sanglier l’emblème gaulois. Obélix mange du sanglier, pas du poulet (demandez à Mourey il vous expliquera). Tout cela n’est pas bien grave tant que sur le fond sa ligne est la bonne.
Les nationalistes de tous bords sont les seuls remparts qu’ont les populations contre le mondialisme. Eleusis ne voit pas que la dialectique politique se situe aujourd’hui entre les mondialistes et les nationalistes, le débat gauche-droite ayant perdu toute pertinence. Il n’est maintenu que pour enfermer les gens dans le parti unique. En nous proposant en permanence le blanc-gris, le blanc-beige et le blanc-cassé ils espèrent que nous voterons prés du blanc en oubliant les couleurs de la vie. Rien n’est moins sûr.
Au plan mondial, les idées mondialistes perdent tous les jours du terrain. Dans un sursaut ultime, les mondialistes judéo-américains portent la guerre partout et mettent la planète à feu et à sang. En réaction, les nations reprennent du sens. La Chine, pays nationaliste s’il en est même sous son appellation de communiste, est le meilleur rempart contre le mondialisme destructeur. Le mouvement de balancier est entrain de revenir, les nations ont l’avenir devant elles. Ne ratons pas le train en étant du mauvais côté de la barrière comme FG.