Bonjour,
Quelle que soit la qualité du texte et le plaisir que l’on a à le lire, on ne peut pas éliminer ce qui est dit et qui résonne pour beaucoup, dont moi-même.
Même si le véritable sujet c’est la vie rurale (que je porte moi aussi dans mon cœur), ce qui est dit n’est pas sans effets.
Quand ma belle-fille a accueilli le retour de chantier de mon fils en lui envoyant son amant pour le prévenir, et qu’elle croyait dur comme fer que les enfants lui appartenaient en propre, elle a donné une autre image de la vie rurale ; mon fils et mes petits-enfants sont abîmés à vie.
Ce n’est pas le sujet mais il est bon de remettre les choses en place. Dans cette remise à plat il faut aussi interpeller le féminisme de PIGRIPI qui essaie illico de faire croire que le Marcel violait forcément les femmes ou peut-être qu’elles croyaient toutes que le Marcel avait l’intention de les prendre dans son harem. Il faut prendre l’habitude de se défendre contre cette certitude que l’homme naît coupable et que la femme est toujours douce, bonne, respectueuse des autres, aimante...et victime.
A propos, PIGRIPI, que pensez-vous des six ou sept femmes entre trente cinq et cinquante ans qui me font comprendre sans ambiguité (l’une avec insistance pendant plus d’un an) qu’elles ont la main sur le string ? que pensez-vous du fait que leurs avances de femmes mariées et mères de famille (enfants souvent à la dérive) sont faites à un homme dont les quatre vingts ans ont sonné ?
Peut-être pourriez-vous avoir un peu le sens des réalités plutôt que vous aligner systématiquement sur une l’idéologie féministe mortifère.