Romain Desbois > « Je suis plutôt partisan de régler les choses par le dialogue, la conviction, l’argumentation »
Vous, peut-être, mais manifestement ni l’auteur de l’article ni ses compères espérantistes. Qu’il y ai débat, argumentation, etc., je le veux bien concevoir, mais lorsque toute contestation des lubies de cette bande de suiveurs de sieur Masson se voit, par les membres de la bande sus-mentionnée, comparée (au choix, et quelques fois les qualificatifs s’ajoutent) à du néofascisme, une soumission aux intérêts du « lobby anglo-saxon », du stalinisme irrédentiste, de l’européisme béat, de l’anti-humanisme mortifère, etc., vous conviendrez facilement que le débat n’est pas possible. Cette situation court depuis 2006, c’est-à-dire les tous débuts de l’opposition entre « les aspiques » et les « massoniques ». Les premiers ont prit le parti de faire les cons et de cesser tout effort de réflexion, tant le débat semble vain. Les seconds continuent de se prendre au sérieux et ne peuvent s’empêcher de ressasser les mêmes miasmes pseudo-argumentaires, sans même avoir le courage de prendre un minimum de hauteur.
Personellement, vu le constat de cette situation devenue fort simple car binaire, j’ai prit mon parti.
Et sinon, je ne suis pas professeur d’anglais. J’ai même une certaine réserve politique et culturelle vis-à-vis du Royaume-Uni et des Etats Unis d’Amérique (les autres pays de langue anglaise, je ne les connais pas assez), que je considère personellement comme peu compatible avec la sensibilité française, autrement plus subtile.
Mais cela ne m’empêche pas de savoir ce qu’est un rustre et un imbécile, et c’est le cas de M. Krokodilo.