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Commentaire de ddacoudre

sur Entre droits et devoirs


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ddacoudre ddacoudre 17 février 2010 16:43

je n’ai pu coller le lien je te copie l’article.

Cette liberté subjective ne peut donc s’évaluer qu’au travers des systèmes d’autorité censés préserver l’individuation tout en maintenant la solidarité mécanique qui est la nôtre avec pour objectif de faciliter l’intégration sociale.

La subjectivité de la liberté.

La subjectivité de la liberté n’a pu être cernée que lorsque l’Homme a découvert de manière plus précise les lois ou certains principes de la nature, qui l’incluait dans un système unifié déterminer par des probabilités aléatoires. Si bien que la liberté subjective est antinomique de la nature car nous ne pouvons pas être « libre » de notre « création » (innéité), à tel point que l’homme doit toujours indiquer de quelle servitude il veut s’affranchir ou de quelle fonction il veut user sans contrainte.

 

L’Homme est né libre d’agir, il a restreint et a supprimé cette liberté à certains d’entre eux, quelles qu’en soient les raisons, et il s’est redéfini cette liberté. Pourtant au-delà des mots, garantir cette liberté d’action, pour tous les hommes, n’a pas résolu le problème de la dépendance des actions des uns envers les autres, si ce n’est par la sémantique et les conditions d’exécution de ce qu’il s’est reconnu comme étant un droit.

 

Car cette liberté naturelle est un état de la condition humaine et la reconnaître comme un droit, c’est admettre qu’elle est limitée ou cette liberté naturelle transformée en « droit » par l’Homme, donne à celui-ci un sentiment de toute puissance. Comme si l’Homme pouvait définir que la planète Terre a le droit d’exister. Pourtant cette démarche dans laquelle nous sommes inscrits révèle la malléabilité de notre psychique propice au conditionnement.

 

 

La liberté mystique.

 Ainsi la notion de liberté a été élevée à un niveau de mysticisme, et il nous faut constamment apprécier cette notion de liberté pour ne pas nous perdre en elle. Cela ne nous empêche pas de reconnaître que ce mysticisme joue un rôle : celui de justificateur de la transgression de « l’arbitraire, de la contrainte, de la servitude, de la dépendance normalisée. » La liberté en ce sens exprime la catalyse de la réalité des intrications humaines qui ne sont pas toujours accessibles à notre compréhension et nous pousse à l’évolution et à l’apaisement. Par exemple quand des politiciens s’opposent sur sa définition et finissent par s’accorder dans un consentement consciemment hypocrite autour des contraintes qui limitent la subjectivité du mot. Mais au-delà l’Homme ne peut s’attacher qu’à des fins qui lui sont supérieures, et ne peut se soumettre à des règles que s’il perçoit ce dont-il peut-être solidaire. C’est ce qu’offre cette notion de liberté subjective. Sous certains aspects elle s’est « sacralisée », sans pour autant avoir un contenu clairement identifiable, hormis par la notion de « liberté arbitraire », ou bien celle des libertés publiques que je nomme « liberté positive. »

 

De la sorte dés lors qu’il est porté atteinte à ce qu’il juge être sa « liberté arbitraire », tout individu peut à tous les instants se référer au principe sacré subjectif de liberté individuelle installée par sa reconnaissance dans la Constitution Universelle des Droits de l’Homme.

 

Ainsi son usage peut-être en permanence actualisée par l’évolution du droit. Mais un droit qui ne peut se prévaloir du blanc seing de la liberté subjective qui seule autorise la transgression du droit dans la recherche d’une liberté arbitraire individuelle attractive, vers une nouvelle liberté positi


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