@ L’auteur,
Je comparerai davantage la France au Brésil, elle est en bon chemin, je pourrais même citer l’Argentine.
La Court des Compte à donné 10 ans à la France pour redresser sa gestion publique, et le bon Raffarin n’a trouvé rien de mieux que de s’assoire sur ce rapport, il y maintenant 2 ans, il nous reste plus que 8 ans et si tout va bien.
Lire l’excelent livre de Jacques Marseille « Le grand gaspillage » basé sur une étude approfondie des rapports de la Court Des Compte pour s’aperçevoir de l’ampleur de la tâche.
On pourait intitulé ce livre « Le grand pillage » tellement on s’aperçoit que l’on a crée un système généralisé et parfaitement légal d’abus de biens publiques ainsi que d’emplois fictifs.
Si la France va mal, ce n’est pas le cas pour tout le monde, nous avons également crée toute une classe sociale vivant exclusivement de l’économie subventionée et dont maintenant l’économie de la société civile est entièrement dépendante, bien que ce soit cette dèrnière qui la finance entièrement grâce à l’impôt et aux taxes.
Il faut bien prendre conscience de l’importance de ce cercle vicieux qui ne fait que de traduire la domination d’une classe par une autre, recréant les conditions de l’Ancien Régime.
Il faut également savoir que la France ne dispose d’aucun organisme qui permet de savoir si l’argent publique est employé à bon éssiant. La Court des Comptes n’a absolument aucun pouvoir, et les députés à l’Assemblée n’ont pas les moyens matèriel de savoir si les budgets voté correspondent à la réalité, tant et si bien que lorsqu’ils approuvent le budget il le font parfaitement en aveugles.
Cette situation conduit la France petit à petit vers une forme d’anarchie dans l’ordre. Celui ou celle qui aura le courage de réformer ce sistème devra au bas mot afronter un pays en état d’insurection pendant plus d’un ans. Mais je doute fortement que l’on puisse trouver cette personne providentielle tellement ce qui caractérise la classe dirrigeante au pouvoir de droite comme de gauche est un système de népotisme généralisé.